Coucou c'est moi !
Je vous présente : Le respect dû à un Black version HPSS.
Je précise qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu la première version Le respect dû à un Black pour lire celle-là.
Mais je vous préviens, au début, ça reste très très malsain. Je répète ce que j'ai dit dans la fic précédente : je ne crois pas qu'on puisse vivre une guerre sans être traumatisé, et je suis sûre qu'on ne peut survivre à une guerre sans dommage. C'est ce que j'ai essayé de montrer ici. J'espère que ça vous plaira, mais vous lisez à vos risques et périls.
ATTENTION cette histoire est MALSAINE, il y a une scène de VIOL dans ce chapitre et nous sommes dans une relation sado-maso. Donc, ATTENTION, lisez en connaissance de cause.
La maison refuse les insultes… mais accepte les menaces de mort… Après tout, je suis la déesse aux bazookas, comment refuser à mes lecteurs le plaisir de me menacer à leur tour :b
Le respect dû à un Black version HPSS
Chapitre 1 : Le Sauveur à sauver.
— J'exige le respect dû à un Black.
Harry éprouva aussitôt une sensation extraordinaire. Il avait l'impression que tous ses soucis lui sortaient peu à peu de la tête, laissant place à une sorte d'euphorie indéfinissable. Dans un état de parfaite décontraction, il resta debout au milieu de la salle.
— C'est l'heure de l'expiation, Potter. Je suis sûr que tu étais impatient.
Déshabille-toi.
Tu sais, Potter, je suis trop bon de venir chaque jour te voir. Sans moi tu n'aurais jamais aucune visite. Personne ne s'intéresse à toi. Et c'est bien normal. Qui pourrais-tu intéresser, après tout ? Toi, un meurtrier.
A genoux.
Tu as à peine acceptable comme esclave. Et encore… Après tout ce temps passé à m'occuper de toi je dois encore tout te dire !
Draco le gifla violemment.
— Ouvre la bouche.
Ce n'est pas que tu le mérites, mais je t'autorise à me sucer. C'est encore ce que tu fais de mieux, te mettre à mes pieds et me donner du plaisir.
Plus fort. Plus vite. Je veux sentir le fond de ta gorge.
Je retire ce que j'ai dit. Tu n'es bon à rien.
Draco immobilisa la tête de Harry et enfonça lui-même son sexe dans sa bouche sans ménagement. Harry grimaça mais ne fit rien pour se dégager, se contentant d'ouvrir plus grand la bouche. Draco se mit à le tirer par les cheveux vers lui en rythme avec ses hanches. Après quelques minutes d'un va et vient de plus en plus frénétique et brutal, il s'enfonça une dernière fois, ne laissant d'autre choix à Harry que d'avaler son plaisir, en essayant de ne pas s'étrangler.
— Tu ne vas pas t'étouffer en avalant du sperme comme une collégienne, quand même ! D'autant que tu ne demandes que ça. Tu as un aspirateur à bite à la place de la bouche, Potter. Tu es une telle salope. Je ne sais pas si je vais te suffire longtemps. Je songe sérieusement à… Mais on en reparlera en temps utile. Pour l'instant, on va passer aux choses sérieuses. Je sais que tu es encore insatisfait, n'est-ce pas Harry ? Tu veux que je te baise, hein ?
Réponds !
— Oui, Lord Black.
— Que veux-tu ? Dis-le !
— Je veux que vous me preniez, My Lord.
— Vraiment ?
— Oui, My Lord.
— Tu veux que je te baise violemment, comme tu le mérites ?
— Oui, My Lord.
— Et tu aimes avoir mal.
— Oui, My Lord.
— Tourne-toi. A quatre pattes. Comme la pute que tu es. Dis-moi que tu veux que je t'encule, que j'entre en toi. Fort. Profond. Que tu veux que ma queue t'enfile, t'empale, t'écartèle. Que tu le veux. Que tu en as besoin. Supplie-moi.
— S'il vous plaît, My Lord, prenez-moi. Vite. Fort. Aussi fort que vous pouvez. Je veux sentir tout au fond de moi. Maintenant. S'il vous plaît, je vous en supplie, My Lord, ayez pitié.
— C'est bien parce que tu le veux à ce point que j'accède à ta demande.
— Merci, My Lord.
Et Draco entra en Harry, qui ne put s'empêcher de crier sous l'intrusion. Draco le força à se cambrer à l'extrême et sous la violence de ses coups de reins le sang se mit à couler.
— Tu es si étroit, Harry, si bon, si chaud. Tu aimes ce que je te fais, n'est-ce pas ?
— Oui, My Lord. Vous êtes si gros, si fort.
— Tu veux que je continue ?
— Oui, My Lord. S'il vous plaît. Encore. Plus fort.
Les larmes coulaient sur le visage de Harry et faisaient trembler sa voix. Draco n'en accentua que plus ses mouvements et une expression de plaisir et de cruauté déforma ses traits lorsqu'il explosa au fond de Harry.
— Jouis.
Son ordre fut exécuté comme tous les autres et Harry se tendit, tandis qu'il le gratifiait encore de quelques coups rageurs.
— Tu as joui sans même te toucher. Tu es vraiment une chienne en chaleur.
Draco se retira et s'en alla, sans un regard pour Harry qui resta prostré dans son sang et le sperme de son maître.
Seul. Seul avec ses pensées. Qui le ramenait toujours au même point : J'exige le respect dû à un Black.
Cette phrase. Qui déclenchait le sortilège. Une forme très puissante d'Impérium, que seul un Black pouvait invoquer, et ce uniquement dans l'enceinte du Manoir. Une histoire de pouvoir ancestral et de rituel sanglant qui permettait de décupler la puissance du sorcier…
Et Malfoy était un Black par sa mère. Même si Sirius avait légué le 12 Square Grimmaud à Harry, tout descendant des Black pouvait y séjourner. C'était le droit du sang. Et Malfoy l'avait réclamé, ce droit.
Bien sûr il aurait pu se soustraire au sortilège. Aucun Imperium n'avait d'effet sur lui et d'ailleurs, il fallait déjà toute sa volonté pour ne pas résister à celui-là.
Mais c'était le seul moment où la voix dans sa tête se taisait enfin. Celle qui lui disait que tout était de sa faute. Sa faute si Ginny avait été enlevée et longuement torturée au point que quand on avait découvert son corps Molly en était devenue littéralement folle de douleur. Sa faute si Hermione avait préféré oublier qu'elle était une sorcière, ce qui avait conduit Ron à la schizophrénie. Sa faute si Remus avait dû combattre Greyback jusqu'à la mort. Sa faute. Toujours sa faute.
Malfoy avait raison, il n'était qu'un meurtrier. Dont personne ne se souciait. La meilleure preuve était que lorsque la Gazette avait titré : « Le Sauveur ne souhaite plus participer à la vie politique sorcière et demande que l'on respecte la solitude à laquelle il aspire »… eh bien, rien. Sauf une lettre de Fudge qui transpirait le soulagement.
Un Sauveur est utile, bien utile avant la victoire. Mais une fois qu'il a sauvé le monde, il est plus embarrassant qu'autre chose. Les gens n'aiment pas être reconnaissants. Sauf à des morts.
Il avait de la chance que Malfoy ait accepté son haïssable compagnie.
Et il lui devait le respect.
Le respect dû à un Black.
Malfoy le punissait au nom de tous ceux qu'il avait fait souffrir.
Et il lui était reconnaissant d'utiliser le pouvoir de la maison pour le contraindre à accepter sa punition. Il était trop faible. Il n'aurait pas pu l'accepter de son plein gré.. Il ne méritait même pas toute l'attention que lui portait Malfoy. Malfoy n'avait pas besoin de lui, alors que Harry avait besoin de Malfoy, besoin de laisser quelqu'un d'autre décider pour lui de ce qu'il devait faire.
Il ne pouvait nier ce besoin, pas plus qu'il ne pouvait nier qu'il se sentait mieux après… après avoir laissé Malfoy le punir comme il le méritait.
Il souffrait physiquement, mais il se sentait un tout petit peu soulagé… Ce soulagement disparaîtrait avec les cicatrices, mais pour le moment… Ceci dit, il fallait tout de même qu'il se lave et qu'il nettoie, Draco n'aimait pas qu'il abîme le tapis.
Harry se traîna vers la salle de bains.
Il n'essaya pas de se relever, mais tenta simplement d'appeler sa baguette. Son bras retomba mollement et Harry sombra avec délice dans le noir.
Alors ?
Une tite review pour me dire ce que vous en pensez ?
C'est hard, mais je vous avez prévenus.
Dites-vous qu'au moins cette fois ça finira bien.
Parce que je maintiens : dans la première version, Severus intervient à la fin, puisque c'est lui le dernier des Black, mais il ne fait que remplacer Draco, de la même façon sadique et perverse.
Ce n'est que dans cette version que mon Sevy d'amour sera un véritable sauveur.