Coucou tout le monde ! J'espère que vous vivez pas trop mal le confinement, et vu qu'on en a pour encore un mois je vais tout faire pour vite update ma fic kuroshou office au (je répondrais vite à vos reviews je vous oublie pas 100 000 mercis elle me motivent de ouf)
Me voici avec le premier OS d'une OS week qu'on a voulu organiser avec my best girl liuanne afin de tirer profit de cette situation d'ennui profond, donc voilà les thèmes :
Jour 1 : Recommencer / 3 souhaits
Jour 2 : Sur la route / Malchance
Jour 3 : Explorateurs / Perte de repères
Jour 4 : Radio / Routine
Jour 5 : Prémonitions / Relation secrète (ma vie ce thème j'ai hâte)
Jour 6 : Sous entendus / Notice d'utilisation
Jour 7 : Messages codés / Symptômes
Si vous voulez participer n'hésitez surtout pas plus on est de fous plus on rit ! Et allez lire les OS de CATHARSIS et liuanne elles vont vous régaler c'est certain.
Sinon j'ai changé de pseudo twitter maintenant ce n'est plus whovianofshield mais medecinpoivre au cas où ça intéresse quelqu'un
Cet OS est donc un KUROMIKA (ma nouvelle obsession, rejoignez moi) et sinon pour cette week j'ai évidemment prévu du kuroshou, on peut jamais donner trop d'amour à Kuroo il le mérite cet enfant.
Voilà j'espère que ça vous plaira, on se retrouve après la week pour la suite de mon office au héhéhé
JUST ONE YESTERDAY
i want to teach you a lesson in the worst kind of way
still, I'd trade all my tomorrows for just one yesterday
Fall out Boy, Just One Yesterday
Il était plutôt simple de remarquer que Mika Yamaka n'apprenait pas de ses erreurs. On aurait pu croire qu'après Daishou Suguru en première et Yuzuhira Ayane en terminale, elle aurait compris que sortir avec des capitaines d'équipes sportives n'était pas fait pour elle. Ils n'avaient jamais assez de temps à lui consacrer et elle finissait toujours par s'en vouloir de trop leur en demander. Ça ne l'avait pas empêchée de s'autoriser à tomber amoureuse de Kuroo Tetsurou à la fin de sa première année à l'université.
Mika l'avait considéré comme un avertissement la première fois qu'il s'était assis à sa droite en cours magistral de chimie, comme un danger lorsqu'il l'avait invitée à sortir quelques mois plus tard, et comme une exception – la dernière – au moment où elle avait elle-même pris l'iniative de l'embrasser avant le premier match de la saison de volley. L'univers ne l'avait pas laissée se bercer d'illusions très longtemps.
Encore une fois, Mika s'était retrouvée face au même problème : il fallait qu'elle rompe avec une personne qu'elle aimait énormément, mais qui hélas, n'était pas faite pour elle. Elle se montrait injuste avec Kuroo et elle le savait. Il faisait de son mieux pour tout concilier entre ses examens et les entraînements de volley – il en allait de son avenir et elle se serait détestée de lui ajouter un poids de plus sur les épaules. Elle ne pouvait ni demander à Kuroo de choisir entre elle et sa passion, ni rester avec un petit-ami qu'elle pouvait presque jamais voir. Ils en souffraient tous les deux, et à force Mika avait fini par savoir reconnaître quand il était temps de lâcher prise.
Jeune et pleine de rancœur, elle avait craché à Daishou que tout était fini entre eux derrière le gymnase de Nohebi. Un an plus tard, le cœur en miettes, elle avait dit à Ayane qu'elle ne pouvait plus continuer comme ça dans un parc où elles avaient pris l'habitude de se promener après l'entraînement du club de cyclisme le samedi après-midi. Et cette fois-ci, c'était dans un café en plein cœur de Shibuya qu'elle avait à Kuroo, je suis désolée, mais ça suffit.
Elle avait anticipé la peine lisible au fond des yeux bruns de Kuroo, les excuses qu'il lui avait présentées et dont elle ne voulait pas, les larmes qui lui étaient montées aux yeux, mais certainement pas l'homme au visage exsangue et aux yeux exorbités qui avait frappé son front contre la vitre juste à côté de leur table.
Elle n'émettrait que bien plus tard l'hypothèse que l'univers était prêt à déclencher une apocalypse zombie simplement pour l'empêcher de se délivrer de la Malédiction des Capitaines.
Durant les 72 premières heures de ce cauchemar, seule la panique animait Mika. C'était la seule chose qui la faisait courir alors que ses poumons menaçaient d'exploser et ses jambes de flancher.
C'était la peur qui la faisait suivre chacun des ordres de Kuroo, c'était la peur qui l'aidait à ne pas s'effondrer en plein milieu des rues qui grouillaient d'un danger qui devenait plus menaçant à chaque heure qui passait, c'était la peur qui l'empêchait de dire non, non je ne peux plus continuer.
Ensuite, lorsque l'idée qu'ils ne reverraient peut-être jamais leurs proches et que la mort les attendait peut-être au coin de la prochaine rue finit par doucement s'imposer à eux, vint la culpabilité, et une fois qu'elle s'était installée, Mika fut incapable de la chasser.
Il était évident qu'elle n'aurait jamais survécu aussi longtemps si elle n'avait pas eu la chance de se trouver avec Kuroo lorsque le monde tel qu'ils le connaissaient s'était effondré. S'il n'avait pas été là pour lui prendre la main et lui indiquer où se cacher, quand se mettre à courir, quand se retenir de respirer pour ne pas se faire repérer, elle serait sans doute morte dans ce même café où elle lui avait donné rendez-vous pour le larguer, comme le reste des clients.
Il aurait pu me laisser là, se répétait Mika alors qu'ils couraient pour leur vie depuis des jours, il aurait très bien pu s'en aller et il s'en porterait sans doute beaucoup mieux.
- Ça va aller ? lui demanda Kuroo.
Mika acquiesçait, même quand ce n'était pas le cas. Elle qui pouvait se montrer si capricieuse et égoïste auparavant se rendait lentement compte que cette attitude la condamnerait inévitablement. Une semaine plus tôt, elle aurait bruyamment soupiré non, ça ne va pas, rien ne va, je veux que tout ça s'arrête, mais ni elle ni Kuroo n'y pouvaient rien. La seule chose qu'ils pouvaient encore faire, c'était survivre.
Ils conduisaient la voiture qu'ils avaient trouvée chacun à leur tour et écoutaient toutes les fréquences radio en espérant entre quelque chose. La plupart du temps, seul le silence leur répondait.
- Tu devrais me laisser là, avait murmuré Mika alors que Kuroo achevait d'envelopper sa cheville foulée.
Ces créatures étaient effroyablement silencieuses. Ils s'étaient arrêtés moins d'une heure pour se ravitailler dans une épicerie en bordure de la route, et lorsque l'infecté s'était jeté sur elle et que son dos avait heurté le sol, Mika avait su que c'en était terminé. Elle avait beau hurler, Kuroo était sans doute trop loin pour arriver à temps, et peu importe à quel point elle se débattait, la créature qui avait autrefois été un homme était bien plus forte qu'elle.
Pourtant, Kuroo l'avait attrapé par le col de sa veste et l'avait envoyé valser contre les étalages de boites de conserve avant de lui planter sa hache dans le crâne. Il ne regarda même pas son corps s'effondrer, préférant se précipiter vers Mika.
- Il t'a mordue ?
Mika n'avait jamais vu Kuroo perdre son sang froid auparavant – et pourtant les occasions avaient été multiples, surtout lorsque Daishou et lui étaient dans la même pièce. La peur qu'elle lisait dans ses yeux suffit à la distraire un court instant de la douleur qui irradiait sa cheville.
- Non, avait-elle bredouillé en secouant la tête. Mais je crois que je me suis foulé la cheville. On devrait pouvoir trouver des bandages dans un des rayons –
Kuroo s'était rapproché d'elle et Mika n'avait pas hésité une seconde à le prendre dans ses bras. Ils étaient restés là un long moment, sur le carrelage poisseux de cette épicerie abandonnée, sans savoir lequel des yeux avait eu le plus peur.
Et à présent qu'ils étaient de retour dans la voiture, que Mika était encore plus vulnérable qu'auparavant, et qu'elle tremblait de peur rien qu'à l'idée de se retrouver seule, elle savait qu'il fallait qu'elle se montre raisonnable, pour qu'au moins un des deux survive.
Après avoir terminé son bandage, Kuroo avait calmement pris son menton entre son pouce et son index pour qu'elle lève ses yeux remplis de larmes vers lui.
- Qu'est-ce que tu racontes ? Je te laisserai nulle part.
- Je te ralentis. Et en plus maintenant je suis blessée.
Kuroo secoua la tête comme si tout ce qu'elle venait de dire était ridicule.
- Mika.
- Laisse-moi finir. Tu sais que j'ai raison. On s'en sortira jamais tous les deux en un seul morceau. T'es obligé de me protéger alors que je peux rien faire pour t'aider… Laisse-moi, c'est la meilleure chose à faire.
Kuroo resta silencieux pendant quelques instants, puis il la regarda à nouveau dans les yeux.
- Tu crois vraiment que j'en suis capable ?
Mika s'en fichait. S'il refusait, elle lui fausserait compagnie pendant son tour de garde cette nuit-là.
- C'est pas ta faute. Tu prends des risques à cause de moi.
Kuroo avait doucement pris son visage entre ses mains.
- Mika, je serai devenu fou depuis des jours si t'étais pas là. Je sais pas où est Kenma, je sais pas où sont mes parents, et si t'étais pas juste à côté de moi tous les jours, je crois que je supporterai pas de ne pas non plus savoir si tu vas bien. Alors je ferai n'importe quoi pour te protéger, même si ça veut dire qu'on doit avancer plus lentement, même si ça veut dire que je dois être blessé, mais t'avises plus jamais de me demander une chose pareille.
Mika finit par secouer la tête, les yeux embués de larmes. Elle enroula ses bras autour du cou de Kuroo lorsqu'il se pencha pour l'enlacer.
- Promets-le-moi, murmura t-il, le nez dans ses cheveux. Promets-moi que t'essaieras pas de filer quand j'aurai le dos tourné.
Mika se mordit la langue.
- Kuroo -
- Tu crois que c'est moi qui te protège ? Tu te rends pas compte. J'arriverai jamais à continuer si t'étais pas avec moi.
Il posa doucement son front contre le sien.
- Me laisse pas. S'il te plaît.
Le ton de sa voix s'était fait presque suppliant et Mika ne céda qu'en se souvenant des nuits où Kuroo avait fait des cauchemars si effroyables qu'il ne s'était calmé que lorsqu'elle l'avait pris dans ses bras et qu'elle avait caressé ses cheveux en lui parlant à voix basse de tout ce qui lui passait par la tête qui pouvait le faire penser à autre chose.
Mika acquiesça faiblement et détourna les yeux, se sentant incapable de ne pas faire quelque chose de stupide s'il continuait à la regarder comme ça.
- C'est promis.
- Tu penses que tout ça finira par s'arrêter ? lui demanda Mika un jour, alors qu'ils traversaient un centre commercial à l'abandon.
Elle savait qu'il n'avait pas plus de réponses qu'elle à toutes les questions qu'ils se posaient, mais parfois il lui était impossible de cesser d'y penser.
- J'en sais rien, répondit Kuroo. On entend de plus en plus de groupes organisés à la radio, mais ils n'ont toujours pas trouvé de vaccin contre cette chose. Ça pourrait prendre des années.
- On retournera peut-être jamais à la fac, tu rejoueras peut-être jamais au volley…et on fera peut-être jamais rien d'autre que de fuir ces saletés.
Mika frissonna à cette idée et Kuroo se tourna vers elle. Lentement, il s'approcha juste assez pour prendre sa main dans la sienne.
- Peut-être, soupira-t-il. Mais pour l'instant ça me suffit qu'on soit en vie tous les deux. On verra pour le reste plus tard.
Tous ceux qu'ils connaissaient étaient injoignables, peut-être morts ou en train de mourir, et la seule chose à laquelle Mika était capable de penser à cet instant précis était à quel point elle était reconnaissante de parcourir toutes ces routes qui ne menaient nulle part avec lui. Ils n'avaient pas de réelle destination, seulement la volonté de survivre, et ils ne s'arrêtaient jamais.
- Ouais, répondit Mika en levant les yeux vers lui. Je suis contente que tu sois là, moi aussi.
Elle aurait voulu s'approcher plus près encore, se hausser sur la pointe des pieds comme elle l'avait fait des mois et des mois plus tôt, dans ce qui lui semblait être une toute autre existence.
Ils pourraient recommencer. Ils pourraient reprendre à zéro, dans ce monde où il n'y avait ni examens, ni entraînements, ni la moindre autre préoccupation que leur propre survie.
Elle résista à la tentation.
- Faisons une pause, finit par dire Kuroo.
Il lâcha sa main et se dirigea vers un banc, laissant à Mika l'occasion de reprendre ses esprits.
- D'accord.
Après de longues heures de réflexion sur le siège passager de leur voiture, alors qu'elle regardait le même paysage de désolation défiler, Mika était parvenue à une conclusion intéressante : elle allait finir par mourir si Kuroo ne se décidait pas à l'embrasser. Ils pouvaient mourir à n'importe quel moment, à quoi bon perdre le temps précieux qu'il leur restait ?
Mais comment savoir ce qui pouvait bien se passer dans sa tête ?
À chaque fois que l'envie de l'attraper par le col de sa veste se faisait trop intense, Mika se rappelait que c'était elle qui avait rompu avec lui une poignée de secondes avant le début de ce désastre et qu'elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même.
Si quelqu'un devait prendre cette décision, c'était Kuroo. Et elle était incapable de deviner ce qu'il voulait.
Mais pourtant, il l'avait presque embrassée, quelques jours plus tôt. Quand elle avait sorti un ballon de volley de l'un de leurs immenses sacs de voyage, Kuroo avait écarquillé les yeux comme s'il était persuadé d'halluciner.
- Où est-ce que t'as trouvé ça ?
- Joyeux anniversaire, s'était contenté de répondre Mika avec un sourire énigmatique.
Kuroo avait pris le ballon et l'avait fait tourner entre ses mains comme pour s'assurer qu'il était bien réel.
- Sans blague, comment t'as fait pour le planquer sans que je le voie ?
Mika avait haussé les épaules sans se départir de son sourire satisfait.
- Qui sait.
Elle avait attendu que Kuroo soit trop occupé à compter le nombre de bouteilles d'eau qu'ils pouvaient récupérer dans un magasin de sport deux semaines plus tôt pour aller fouiller dans la réserve, et son intuition ne l'avait pas déçue. Un ballon jaune et bleu facilement identifiable trônait sur une étagère. Elle l'avait caché dans l'un des sacs remplis des barres de céréales qu'ils avaient ramassées et Kuroo n'y avait vu que du feu.
- Merci, répondit-il en cessant de contempler son cadeau pour se concentrer sur Mika.
- Il te servira pas à grand-chose vu qu'on a nulle part où y jouer, mais je me suis dit que ça te ferait plaisir, avait-elle dit en regardant ses pieds.
- Et t'as eu raison. Merci beaucoup, Mika. T'imagines pas comme ça fait du bien de revoir ce truc-là.
Elle n'avait plus vu ses yeux briller de cette façon depuis des mois.
- Tant mieux, répondit-elle. C'était le but.
Et c'était à cet instant précis que Kuroo s'était rapproché, si près que Mika s'était figée, pratiquement certaine qu'il allait l'embrasser. Finalement, il avait déposé un baiser sur la joue et ils n'en avaient pas reparlé. Mais il ne se passait pas une journée sans que Mika y repense.
Lorsque Mika se réveilla, à peu près six mois après le début de la catastrophe, allongée sur l'un des sièges à l'arrière de la voiture, Kuroo lisait une énième fois le même volume d'un manga qu'il avait trouvé dans une épicerie quelques semaines plus tôt, juste à côté d'elle. Les vitres de la voiture les coupaient efficacement des bruits de l'extérieur, et à cette hauteur elle ne distinguait que le ciel gris. Elle aurait pu s'imaginer, l'espace d'une poignée de secondes, que le monde n'avait pas sombré.
- Tu crois que l'histoire va changer si tu le relis suffisamment ? le taquina-t-elle en se frottant les yeux.
- Qui sait, ricana-t-il.
Il arborait un drôle de sourire et Mika fronça les sourcils.
- Pourquoi tu me regardes comme ça ?
- Tu parlais dans ton sommeil.
Mika ferma les yeux et soupira. Oh non.
- Ah ouais ? Et qu'est-ce que je disais ?
- Mon nom, répondit Kuroo sans cesser de sourire. Alors, tu rêvais de quoi ?
Mika haussa les épaules.
- J'ai rêvé… de la plage. D'Okinawa.
Elle avait rêvé d'une étendue infinie de sable, et du weekend qu'ils avaient passé avec un groupe de leurs amis de l'université. Oikawa, Iwaizumi, Bokuto, autant de gens qui leur manquaient terriblement. C'était aussi la fois où Mika l'avait embrassé sur le perron de la maison qu'ils avaient louée, quand tout le monde dormait et qu'ils n'entendaient rien d'autre que le bruit des vagues.
- Ça me manque, admit-elle si bas que sa voix s'était réduite à un murmure.
Elle releva les yeux vers lui, espérant qu'il avait compris que ça n'était pas seulement la plage, leurs amis, ni même la chaleur du soleil d'été qui lui manquaient.
- À moi aussi, répondit Kuroo en posant son manga pour la regarder dans les yeux.
Mika ne prononça pas un mot lorsqu'il se pencha vers elle, ne fit pas un geste lorsque sa main caressa sa joue et quand Kuroo se décida enfin à l'embrasser, elle passa doucement une main dans les cheveux à la base de sa nuque. Ils étaient devenus trop longs.
Quand Kuroo recula de quelques centimètres, une poignée de minutes plus tard, les premiers mots qu'ils prononcèrent furent des excuses que Mika n'avait toujours pas envie d'entendre.
- Je suis désolé, soupire-t-il, j'ai pas pu m'en empêcher, je –
Mika l'attira contre elle par le col de son t-shirt et l'embrassa furieusement pour dire ne me laisse jamais partir, pour dire tu es tout ce que j'ai, pour dire aime moi encore une fois.
Tout ce qui les avait séparés était loin derrière eux, l'université, le volleyball, toutes leurs obligations, et Mika décida qu'il était temps que leur rupture soit derrière eux, elle aussi.
Kuroo avait fermé les yeux.
- Recommence, avait-elle murmuré.
« Anything you say can and will be held against you,
so only say my name, it will be held against you »
Fall Out Boy, Just One Yesterday
Alors, je vous ai convaincus de sauter à pieds joints dans le gouffre sans fond de ce ship ? J'espère bien. Parce que j'ai clairement pas fini.
Hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé et on se retrouve demain pour le thème numéro 2 !
Aeli

2