Disclamer : Le monde et les personnages d'Harry Potter ne m'appartiennent pas... Malheureusement !
Titre : La vengeance des Malfoy
Résumé : Albus Dumbledore veut absolument gagner la guerre, peu importe comment il l'a gagnera. Tout commence le jour où le directeur de Poudlard enleva le petit frère de Draco pour le donner au Potter... Bashing/Lemon/Slash/Trafique d'enfant...
Bêta : Antidote
Fiche :
Draco Angel Malfoy : Préfet des Serpentard, fils de Lucius et Narcissa
Harry James Potter : Eridan Ursius Malfoy (frère de Draco)
Luna Lovegood : Epsilon Zêta Malfoy (soeur de Draco)
Lucida Maia Bleufontaine : La femme de Severus (OC)
Cassiopé Naos Snape : La fille de Severus
Séléna Alya Lestrange : La fille de Bella et Rodolphus
Véga Camellia Lestrange : La fille de Bella et Rodolphus
Adhara Elnath Lestrange : La fille de Bella et Rodolphus
Soraya Céleste Nott : La soeur de Théodore Nott
Eliot Laurent Nott : La frère de Théodore Nott
Alaïs Alma Parkinson : La soeur de Pansy Parkinson
Oriana Arcadie Parkinson : La soeur de Pansy Parkinson
Auxence Amance Parkinson : Le frère de Pansy Parkinson
Ailean Drian Parkinson : Le frère de Pansy Parkinson
Keren Philomène Parkinson : Le frère de Pansy Parkinson
Shirley Liorah Parkinson : La soeur de Pansy Parkinson
Note : Dans les parchemins (chapitre 2), j'ai du changer l'âge - leur vrai âge - pour que ce soit cohérent
Note 1 :
À partir de maintenant et pour rassurer mes lecteurs, je vais poster mes avancées pour que vous sachiez où j'en suis dans toutes mes fanfictions !
- La vengeance des Malfoy, chapitre 11 : Pas commencé
- Il ne faut pas mentir, chapitre 2 : En cours (2000 mots environ)
- Les 100 façons de dire "Je t'aime", chapitre 2 : En cours (1000 mots environ)
- Le coup du Destin, chapitre 3 : Pas commencé
- Social Work, chapitre 8 : Pas commencé
- J'aurai mon indépendance, chapitre 10 : Si vous souhaitez participer !
- La prise en charge, chapitre 3 : En cours (1000 mots environ)
- Certe Vivere, chapitre 2 : Pas commencé
- Echec et Mat, chapitre 1 : En cours (1000-2000 mots environ)
- Une mission pour l'éternité, chapitre 2 : En cours (200 mots)
- Retour à la réalité, chapitre 3 : Pas commencé
- La Douleur, ensemble, chapitre 2 : En cours (1000 - 2000 mots environ)
- Une situation inattendue, chapitre 3 : Pas commencé
- Être un bon fils, chapitre 3 : En cours (200 - 300 mots)
- Pour oublier, chapitre 3 : Pas commencé
- Toujours en vie, chapitre 3 : Pas commencé
- Entre Amour et Guerre, chapitre 2 : Commencé
- L'honteux secret, chapitre 2 : Pas commencé
- La douleur de trop, chapitre 2 : Pas commencé
- Devoir de grandir, chapitre 1 : Pas commencé
- Entre Guerre et Chasse, chapitre 4 : Pas commencé
- Un rêve mis de côté, chapitre 1 : Pas commencé
Note 2 : h.t.t.p.s. : / discord . gg / TfmRQNj , une occupation durant le confinement ! (n'oubliez pas d'enlever les points et les espaces)
Note 3 : Je me permets de laisser un petit messager parce que j'ai souvent reçu en review, dont une récemment, que j'avais trop d'histoires en cours. Je ne dis pas le contraire. Cependant, je tiens à vous rappeler qu'une review, c'est pour critiquer positivement ou négativement une histoire, cela ne sert pas à "juger" l'auteur. Et pour être tout à fait franche, je n'écris pas pour vous, mais pour moi. Si j'ai envie de commencer 500 histoires, je le ferai. De votre côté, si vous avez envie de les lire, tant mieux, sinon tant pis. J'espère donc ne plus recevoir ce genre de review.
Mais je remercie énormément ceux qui me suivent encore, qui me laissent des reviews, qui follow et qui mettent les fanfictions en favoris !
La Vengeance des Malfoy, chapitre 10
— Où sont mes enfants ? Où sont nos enfants ? rectifia Narcissa. Je suis allée dans leurs chambres, mais il n'y a personne, pas même Éridan.
Encore énervé par l'entrevue avec son aîné, Lucius ne répondit pas, le visage dur, se contentant de prendre un verre dans le but de se détendre. Mais c'était sans compter sur la ténacité de sa femme qui lui agrippa le bras, les sourcils froncés par l'inquiétude.
— Ton fils est un ingrat, siffla finalement l'ancien Lord, les mâchoires serrées. Je commence à comprendre pourquoi mon père m'a éduqué…
— Battu, contredit aussitôt la femme du mangemort. Ton père t'a battu et il était hors de question que tu fasses de même.
— Peut-être que si Draco s'était déjà pris des coups de canne, il comprendrait le véritable sens du mot « famille » et du mot « sacrifice ».
— Qu'as-tu fait ? souffla-t-elle en fixant son époux avec des yeux effrayés tandis que sa deuxième main se posait sur son ventre. Qu'as-tu fait à Draco ?
— Lord Voldemort voulait qu'Éridan soit son compagnon officiel, je n'avais pas le choix, dit-il comme si cela suffisait à justifier son acte. Mais évidemment, Éridan a retourné Draco contre moi… Avant son retour, jamais notre petit dragon n'aurait fait ça… C'était un garçon tellement obéissant. Quel gâchis… Mais je ne vais pas pouvoir plaider leur cause face au Seigneur des Ténèbres, notre position est déjà suffisamment précaire.
Immobile, elle fixait l'homme qu'elle avait aimé avec effroi. Pendant quelques instants, elle se souvint de la première qu'elle l'avait vu, c'était un homme bon, bien qu'ayant son caractère, qui aurait tout fait pour la conquérir et lui plaire. Il était toujours tendre, la regardant comme si elle était son plus précieux trésor. Et cet amour n'avait cessé d'augmenter pour atteindre son apogée le jour où Narcissa lui avait annoncé qu'elle était enceinte, enceinte de Draco. Ce jour-là, les perles grises de Lucius avaient été plus brillantes que le Soleil à tel point que même l'ancienne Black en avait été éblouie. Mais aujourd'hui, lorsqu'elle parcourait du regard l'homme de sa vie, elle ne voyait qu'un monstre au visage d'ange et aux mains rouges. Cette aura qui semblait pouvoir époustoufler tout le monde était devenue fade, désespérément fade.
Profondément déçue par son vis-à-vis, elle se détourna, déterminée à retrouver ses enfants peu importe où ils étaient, déterminée à les protéger de ce monde cruel… ou du moins, essayer. Mais c'était sans compter sur la main de Lucius qui s'était vivement emparée de son bras et lorsqu'elle baissa le regard vers celle-ci, elle eut l'impression de voir les serres d'un aigle qui se plantaient douloureusement dans son bras.
— Où crois-tu aller, femme ? grogna-t-il froidement. Non… ne dis rien. Tu vas sans doute chercher à retrouver ses… ses ingrats !
— Lâche-moi, siffla-t-elle. Tu me fais mal.
— Je ne te laisserai pas m'abandonner non plus, pas toi, pas ma propre femme !
— Crois-tu que je te demande l'autorisation ?
La main qui percuta sa joue fit violemment tourner sa tête sur le côté tandis que le monde commençait à tourner sous la force de la gifle. Ce fut dans un grognement appréciateur que Lucius ramena sa femme contre lui, respirant avidement son odeur alors que les poings de Narcissa frappaient faiblement son torse, encore sonnée.
— Qu'est-ce que tu vas faire espèce de sale chien ? s'écria-t-elle en tentant de se dégager. Me violer ? Est-ce donc le seul moyen que tu as pour avoir une femme dans ton lit ? Que c'est dégradant pour le grand et puissant Lucius Malfoy !
N'écoutant pas les jérémiades de sa femme, sa main descendit, aussi vicieuse d'un serpent, empoignant douloureusement l'une de ses fesses, la malaxant.
— Je veux un autre enfant, souffla-t-il finalement près de l'oreille de l'ancienne Black. Et tu as intérêt de t'appliquer cette fois-ci.
— Un autre enfant, plaisanta méchamment sa vis-à-vis en lui riant au nez. Avec ton gêne de loup-garou. Un monstre, tu veux dire.
La suite ne fut qu'une succession de cris, de supplications et de douleur.
XxxxX
C'était dangereux et sans aucun doute stupide. Digne d'une Gryffondor, certainement pas d'une Black, mais il était hors de question que Narcissa subisse une nouvelle fois les frais de la colère de son ancien époux. Lucius ne la laisserait jamais partir de lui-même… Et Severus avait disparu seul Merlin sait où. Ignorant l'inquiétude qui la rongeait à l'idée que son amant soit… décédé, elle se recomposa un visage neutre, vide de tout sentiment. Elle n'avait pas le choix, elle avait besoin d'aide et seul lui pouvait lui fournir. De plus, cette haine qui l'habitait depuis sa… correction avait besoin de s'exprimer et encore une fois, seul lui pouvait lui donner satisfaction. Ce fut pour ces raisons que l'ancienne Serpentard se présenta, le corps recouvert de bleus, devant son Maître, s'agenouillant malgré la douleur devant lui.
— Ma très chère Narcissa, siffla celui-ci, l'admirant. Je ne pensais pas que tu viendrais de toi-même après notre dernière entrevue…
— J'ai reconsidéré votre proposition, mon Seigneur, souffla-t-elle, le cœur battant.
— Proposition ? C'est ainsi que tu appelles cela… J'aurai plus dit un ordre. Est-ce le fait que j'ai demandé à l'un de tes fils de devenir mon promis qui t'a… convaincue ?
— Pas uniquement, Maître, répondit la jeune femme, toujours le visage baissé vers le sol.
— Redresse la tête. Je veux voir ton beau visage quand tu me parles.
Obéissant presque instantanément à son ordre, Lord Voldemort put ainsi avoir un aperçu sur les marques violettes qui commençaient à se dessiner sur les joues de porcelaine de la belle Narcissa. Pendant un instant, sa magie s'agita. Il détestait qu'on abîme ses possessions, mais cela était d'autant plus vrai pour la femme qui se situait face à lui.
— Qui est responsable de ceci ? grogna-t-il.
— Le chien, répondit-elle aussitôt, haineuse.
— Greyback ? s'étonna le mage noir, n'ayant pas vu le loup-garou depuis la punition de son ancien second.
— Non, mon Seigneur, Lucius.
XxxxX
— Maître, salua humblement l'ancien Lord, ignorant la présence de sa femme, ne lui adressant aucun regard.
Se levant, il laissa sa magie envahir la pièce, oppressant le loup-garou volontairement. Et effectivement, il put rapidement voir que son vis-à-vis manquait peu à peu d'air. Tendant son bras à sa future épouse, celle-ci le prit volontiers tandis qu'un rictus prenait place sur son si beau.
— Il semblerait que tu es fait du mal à ma femme, à la future madame Voldemort.
— Votre femme ? Il ne se peut…
— Tu es devenu un loup-garou, un chien, un moins que rien. Votre contrat de mariage stipule que les deux époux doivent rester purs pour que celui-ci soit toujours valide. Et Narcissa est une femme d'exception méritant un homme d'exception tel que moi. Pour lui prouver mon… amour, je lui ai offert quelques de mariage en avance. L'un d'entre eux est, à mon grand regret, ton sort. Il semblerait que ton ex-épouse soit rancunière…
Tendant une main devant lui, il invita ses mangemorts à entrer dans la salle du trône tandis que la Black s'avançait, fièrement dressé devant Lucius.
— Admirez, commença le mage noir. Admirez la colère de Dame Voldemort et ce qui vous en coûtera si vous la provoquez.
— Je suis une femme généreuse, commença celle-ci, son regard parcourant toute les personnes présentes dans la salle, dont sa sœur qui la fixait froidement, je vais donc vous permettre de participer à sa punition. Choisissez l'arme de votre choix et chaque votre tour, punissez-le… Faites en sort qu'il crie autant que j'ai crié.
XxxxX
— Bonjour Severus, salua Narcissa, se retenant visiblement de le prendre dans ses bras, les paroles de son futur mari résonnant dans sa tête : « Je ne partage pas ».
— Cissa, murmura celui-ci, douloureusement.
— Lord Voldemort a accepté de te laisser partir, mais il m'a de te dire qu'il… ne serait pas aussi clément la prochaine fois.
— Partir ?
— Tu… tu n'es plus le bienvenu.
Ne se retenant plus, elle le prit dans ses bras, le faisant gémir de douleur et elle lui demanda de prendre soin de ses enfants qui étaient seuls, dehors. Mais elle ne lui dit pas qu'elle l'aimait, car aujourd'hui, cela ne lui était plus permis. Aujourd'hui, elle n'était plus l'amante de Severus, mais la femme du Seigneur des Ténèbres.
XxxxX
— Dumbledore, entrez, ordonna le ministre de la magie.
— Rufus, salua le directeur de Poudlard.
— Je pensais que nous étions d'accord : vous me fournissez des jeunes hommes pour entretenir le bureau des aurors et en échange, je ferme les yeux sur vos… activités, siffla Scrimgeour, furieux en jetant un dossier au visage du vieil homme. Parmi vos jeunes, deux sont déjà à l'infirmerie. Ne devaient-ils pas être en bonne santé ?
Soudainement tendu, Albus ne prit pas la tête de baisser la tête vers le dossier, il savait déjà ce qu'il allait y trouver : des jeunes hommes et des jeunes femmes trop minces au corps recouvert de bleus et de blessures en tout genre.
— Nous avons eu quelques soucis dans nos camps de concentration… un groupe de criminels cherche à libérer les gosses, notamment une certaine Maia.
— Eh bien, réglez-moi cela… Je ne peux pas me permettre de nouvelles erreurs. Celles de mon prédécesseur, notre très cher Fudge, me poursuivent encore, notamment celle concernant la fuite de Lucius Malfoy… Vous n'aimeriez pas m'avoir dans vos pattes.
XxxxX
— Nous avons un problème, Albus, annonça Molly à son vis-à-vis, inquiète. J'ai l'impression que les sortilèges commencent à faiblir. Je ne veux pas perdre mes petits…
— Voyons, vous ne les perdrez pas. Je ferai tout pour que vous les gardiez. Après tout, vous le méritez, n'est-ce pas ? Ce n'est pas votre faute si vous êtes stérile.
Hochant la tête tout en effaçant les traces de larmes qui se trouvaient sur ses joues rebondies, elle se sentit légèrement mieux bien qu'encore inquiète. Arthur et elle avaient énormément sacrifié pour avoir cette famille, cette famille qui méritait tant. Alors rien que l'idée de voir tous ses enfants retournait dans leur famille d'origine… Cela lui donnait la nausée.
— A-t-il des soupçons ? demanda finalement le directeur.
— Non, s'exclama-t-elle vivement. Et il ne le saura jamais… C'est et ce seront toujours nos enfants. Peu importe ce que dit leur génétique, ce sont nos enfants !
— Évidemment que ce sont vos enfants, vous les avez élevés. Je vais faire en sorte de renforcer le sortilège.
Avec un dernier sourire de sympathie envers l'une de ses « fidèles », Albus se détourna, son visage exprimant une grande douleur. En voulant rechercher Luna et Harry, le directeur de Poudlard avait fait le choix d'utiliser toutes sortes de magie de la plus noire à la plus blanche. Mais le véritable problème de la magie noire n'était pas sa réputation, mais son coût. D'après madame Pomfresh, son utilisation régulière de cette sorte de magie avait abîmé plusieurs de ses organes vitaux. Et c'était sans doute cela qui provoquait la fragilité de ses sorts. Si tous les enfants que Dumbledore avait enlevés changer d'apparence, ce serait une catastrophe. Pour lui, et pour la suite des évènements. La guerre était loin d'être terminée et ce n'était pas le moment que Voldemort récupère tous ses soldats. Non… vraiment pas le moment.
XxxxX
Devant son miroir, Maia agita vaguement sa baguette, concentré sur son image. D'un geste, elle coupa ses longs cheveux, d'un autre geste, elle les teint en brun, faisant disparaître toute trace de roux. Tout ce qu'aimait Severus avait disparu… sauf ses yeux verts. Résolue à « tuer » métaphoriquement l'ancienne Lucida, elle se mit des lentilles qui avaient une jolie couleur, une couleur grisâtre. Aujourd'hui, elle n'était plus que Maia, une Maia sans nom et sans famille, mais avec un nombre impressionnant de cicatrices.
— On n'attend plus que toi… Oh… Cela te va bien ! félicita Will, l'admirant. Peut-être qu'un jour, on pourrait…
— Je n'ai pas le temps, répondit-elle froidement. Tant que je n'aurai pas retrouvé ma fille, je…
— Lucida, murmura une voix roque à l'entrée de son conteneur.
Sursautant en entendant cette voix qu'elle connaissait parfaitement, elle se retourna vivement, découvrant un Severus dans un mauvais état.
— Toi.
Et voilà ! J'espère que cela vous a plus, n'hésitez pas à laisser une review, cela fait toujours plaisir !
Ps : Rejoignez notre groupe de fanfiction, le lien est dans mes notes qui précèdent le chapitre !

141