HELLOWWWWWWWWWWWW

Je suis ravie de vous revoir ! Je vous avais promis une nouvelle fic SQ avant Noel... Et la voilà !

Elle compte pour l'instant 10 chapitres, mais je table sur une quinzaine ^^

Nous sommes ici en présence d'un AU et pour l'instant rated K ... pour l'instant *héhéhé*

J'ai eu l'idée de cette fic, comme beaucoup d'autres, dans un train pour Paris et, pour l'instant, c'est assez ressemblant à l'idée de base que j'en avais. Elle se compose de 2 parties, vous comprendrez pourquoi par la suite.

En attendant, voici le premier chapitre... OH ! Et comme toujours, mes chapitres, sauf contre-temps, seront postés les dimanches !

ENJOY

Surprise, surprise !


« Apprends d'hier, vis aujourd'hui, espère pour demain. L'important est de ne pas se questionner. » Einstein


Toc toc toc

Elle fronça les sourcils tandis qu'elle venait de souffler sa bougie d'anniversaire, seule, dans son salon, comme tous les ans d'aussi loin qu'elle pouvait se souvenir. Elle soupira, déjà lasse de cette visite inopinée qui allait lui gâcher sa soirée de célibataire. Soirée qu'elle s'apprêtait à passer avec Harry Potter et ses amis. Elle attacha ses longs cheveux blonds en un chignon hasardeux. Ce soir ce serait cocooning : pantalon de yoga, T-shirt trop large à l'effigie de la ville de New-York.

Alors, lorsque l'on frappa à sa porte, elle maugréa bien plus contre le dérangement que de savoir qui pouvait se pointer si tard chez elle. Alors, quand elle ouvrit la porte et qu'elle tomba sur un jeune ado d'une dizaine d'années, elle fronça les sourcils.

« Etes-vous Emma Swan ? »

« Hm… Oui ? Et tu es ? »

« Je m'appelle Henry Mills, je suis votre fils. »

Le sang d'Emma se glaça dans ses veines et elle manqua de perdre l'équilibre, ne se raccrochant que par sa porte « Pa… Pardon ? »

« HENRY ! Henry Daniel Mills ! »

Soudain, une voix rauque retentit et une silhouette apparut au détour du couloir, d'un air menaçant, d'un pas aussi pressé que convainquant. Une femme, d'une trentaine d'années visiblement, aux cheveux bruns retombant sur ses épaules en un impeccable brushing. Elle arborait un imper gris anthracite et des talons hauts défiant l'apesanteur.

Lorsqu'elle arriva à leur hauteur, elle attrapa le jeune garçon vers elle et se pencha sur lui « Tu aurais pu m'attendre ! »

« Désolé. Mais j'avais raison, c'était bien ici. » dit-il tout fier dans un sourire

La jolie blonde regarda cette interaction d'un œil curieux, en silence, figée sur place. Elle se rendit à peine compte que la femme devant elle lui parlait.

« Miss Swan ? »

La jeune femme tiqua à son nom « Huh, oui pardon, vous disiez ? »

« Je disais : je m'excuse pour cette entrée en matière peu conventionnelle. Mon fils a une légère tendance à l'insubordination et au laisser aller. »

Par réflexe, elle tourna son regard vers le garçon qui afficha un sourire crispé, accompagné d'un signe de main « Salut ! »

« Henry ! » la jeune semblait à bout de souffle et légèrement irritée. Lorsqu'elle se tourna de nouveau vers la jolie blonde, elle lui tendit la main « Je me présente : je suis Regina Mills, la mère d'Henry. »

La jeune femme fronça les sourcils de plus belle tout en lui errant la main « Sa mère ? Mais ? Il vient de dire que… »

« Peut-être pourrions… En discuter ailleurs qu'au milieu d'un couloir. » suggéra Regina

« Ou… Oui, pardon je… Emma… Emma Swan. »

« Je sais. » sourit Regina avant d'accepter l'invitation à entrer de la jeune femme. Emma les guida jusqu'au canapé « Vous voulez boire quelque chose ? »

« Oh euh… un café si vous avez ? »

« Un jus de fruit ! »

« Henry ! » sermonna la jeune femme

« Un jus de fruit s'il te plait. » grommela le jeune garçon en baissant le regard

Emma se sentit mal à l'aise, mais ne dit rien et s'éclipsa dans la cuisine.


« Henry, tu aurais pu m'attendre. Il ne s'agit pas de l'effrayer. »

« Je sais mais… J'avais hâte. Et puis, on pouvait pas attendre hein ? »

« Chéri. Il faut qu'on y aille progressivement. »

« Elle a l'air bien. »

Regina jeta un œil vers la silhouette blonde à une dizaine de mètres « Si l'on juge par l'apparence, elle semble ne pas avoir croisé une douche ou un peigne depuis un moment. »

« Maman ! »

« Désolée. »

Emma revint avec un plateau, le café, le jus de fruit et quelques gâteaux apéritifs. Henry tenta d'en prendre un mais Regina le freina dans son ardeur en posant une main sur son genou. Il se ravisa alors et tourna son regard vers sa mère « Je peux ? S'il te plait. » Elle lui en donna l'autorisation d'un léger signe de tête. Tout cela devant le regard surpris d'Emma. Puis le silence s'installa avant qu'Emma elle-même ne le brise, ne tenant plus face à cette situation surréaliste.

« Alors… Ce… Ce jeune homme est arrivé et… » elle gloussa de nervosité « Il a prétendu être mon… » le mot fut coincé dans sa gorge comme si elle n'arrivait pas encore à y croire

« Votre fils. » confirma Regina d'un sourire discret

« Il… Il a raison ? »

Regina inspira profondément « Oui. »

Une chape de plomb tomba sur les épaules d'Emma qui ne sut quoi répondre. Les mots lui manquaient et sa tête bourdonnait, la nausée montait. C'était il y a si longtemps… Douze ans exactement.

« Co… Comment… »

« Mon fils a la fâcheuse habitude de fouiner un peu partout. Il y a deux ans, nous avons fais des travaux dans la maison, et nosu avons du bouger des cartons notamment et il a trouvé des courriers d'adoption. Je lui ai alors tout expliqué. »

« … »

« J'ai adopté Henry alors qu'il avait trois semaines à Boston. »

« Je… Je ne sais pas quoi dire… Je m'attendais clairement pas à ça… »

« J'imagine, et je pense que nous aurions pu faire autrement pour se contacter qu'une rencontre frontale et brutale. Mais Henry… » elle soupira « Il avait peur qu'en vous avertissant de son intention de vous rencontrer, vous preniez la fuite. »

Emma laissa échapper un petit rire nerveux « Fuir… J'ai fais ça une large partie de ma vie. » dit-elle comme si elle parlait à elle-même. Puis elle s'en rendit compte et releva le visage pour voir Regina et Henry la fixer, comme s'ils attendaient le reste de l'histoire « Je… Comment avez-vous eu mon adresse ? » dit-elle dans la ferme intention de changer de sujet, ce que comprit Regina qui alla dans son sens :

« Un détective privé. »

« Oh, carrément. Mais… Vous avez mis deux ans pour me retrouver ? »

« Plus ou moins. » répondit Regina « Lorsque nous avons été sûrs, nous avons organisé un voyage jusqu'à New-York. »

« Ou habitez-vous ? Si ce n'est pas indiscret. »

« Miss Swan, nous débarquons chez vous sans avertissement, bousculant votre quotidien, vous avez tous les droits de me demander quelques informations aussi. Nous sommes du Maine. »

« Du Maine ? » Emma sourit alors « Quelle coïncidence que vous ne soyez finalement pas si loin de New-York. »

« Le Destin peut-être. Nous venons d'une petite ville portuaire, Storybrooke. »

« Storybrooke ? Sérieusement ? »

« Oui, nous avons l'habitude. » sourit Regina « Je suis la mairesse de cette petite ville depuis quelques années déjà. »

« Wow… Mairesse. »

« Et vous, vous êtes policière ! C'est la classe ! » lança Henry « Vous avez arrêté beaucoup de gens déjà ? Est-ce que vous vous êtes déjà servie de votre arme ? Vous avez tué des gens ? »

« Henry stop. »

« Pardon maman. »

L'enthousiasme du jeune garçon s'éteignit aussi vite qu'il était arrivé

« Excusez-le. Durant tout le trajet, il n'a pas cessé d'imaginer votre vie. »

« Ah… Et, es-tu déçu ? » s'amusa-t-elle

« Pas pour l'instant. J'avais dis à ma mère que vous étiez jolie, je ne m'étais pas trompé. Tu confirmes ? » dit-il en se tournant vers sa mère

Regina se raidit alors et blanchit à vu d'œil. Emma fut soudainement amusée de ce retournement de situation. Elle se surprit même à attendre la réponse de la jolie brune en face d'elle.

« Bref. » coupa Regina « Le but de notre visite était… Qu'Henry vous rencontre, parce qu'il en avait envie, que l'adoption n'était pas fermée et que l'on a jugé que, donc, vous n'étiez pas fermée à l'idée de revoir un jour votre fils… Alors… Nous voilà. »

« Ouais je… C'est une situation bizarre… »

« Je pense que vous avez beaucoup de choses à vous dire. Nous restons quelques jours sur place, peut-être que vous pourriez vous revoir demain ou plus tard. »

« Oui c'est… Avec plaisir. »

« Tenez. » Regina sortit de son sac une petite carte de son sac à main « Voici mes coordonnées. Appelez-moi lorsque vous aurez assimilé tout cela et que vous souhaitez en savoir plus sur Henry. »

« Me... Merci. »

« Il est assez tard, nous aurions pu arriver plus tôt, mais nous sommes tombés dans les bouchons à l'entrée de la ville… »

« Ne vous justifiez pas. Je… Je serais ravie de revoir Henry, demain ? »

« Bien sur. Nous logeons au Sheraton sur Central Park Est. »

« Bien. J'ai votre numéro quoiqu'il arrive. Je ne bosse que dans l'après-midi alors… Peut-être que nous pourrions déjeuner ensemble ? »

« Henry, qu'en penses-tu ? »

« Ouais, j'adorerais ! »

« Alors c'est entendu. Nous pourrions nous retrouver sur Main Square ? »

« Je vous enverrai une adresse sympa où nous pourrions manger. »

« Très bien. Je m'excuse encore de la brutalité de la rencontre… »

« Non, non c'est… C'est un cadeau intéressant. » ironisa Emma

« Un cadeau ? C'est votre anniversaire ?! » s'étonna Henry

« Oui. » répondit simplement la jeune femme « Rien de bien exceptionnel. »

« Cool ! On le fêtera demain alors ! »

« On verra Henry. Bonne soirée miss Swan. »

« Bonsoir miss Mills, bonsoir Henry. »

Elle les raccompagna jusqu'à la porte et Henry se tourna une dernière fois dans le couloir pour faire un léger signe d'au revoir à la jolie blonde qui hésita avant de répondre à son tour, tandis que Regina avait déjà disparut au détour du couloir.

Et lorsqu'elle referma la porte de son appartement, il lui sembla qu'elle était vidée de toute énergie. Elle se laissa glisser le long de sa porte et soudain les larmes se mirent à monter sans qu'elle ne puisse rien n'y faire. Et entre quelques sanglots, des rires nerveux s'immiscèrent : Douze ans… Douze et le passé la rattrapait de plein fouet. Elle avait presque oublié… Presque.

Elle soupira alors, cognant l'arrière de sa tête contre sa porte « Et merde… sérieusement… »

Elle renifla avec plus ou moins, mais surtout moins, de grâce et tenta de remettre les pièces du puzzle en place : Douze ans auparavant, elle avait donné naissance à un bébé, dont elle ne connaissait que le sexe, puis l'avait donné à l'adoption pour des raisons compliquées. Elle avait enchainé les galères pendant un moment avant de se remettre sur le droit chemin. Et finalement, tandis que sa vie prenait un semblant de normalité, son fils revenait vers elle, bousculant son quotidien. Son fils… Accompagné d'une femme aussi charismatique qu'impressionnante et imposante. Cette femme qui avait élevé son fils. Oui cette femme, Emma y avait souvent pensé : était-elle gentille ? Elevait-elle correctement son bébé ? L'aimait-elle comme elle-même l'aurait aimé ? Pourrait-elle mettre sa vie avant la sienne, mourir pour lui ?

Et à chacune de ces questions, la réponse était positive, pour peu que pouvait en juger les quelques minutes d'échange avec cette femme. Mairesse d'une petite ville, elle semblait avoir un train de vie aisée si l'on prenant compte de son tailleur chic et des vêtements de marque qu'arborait son fils. Elle semblait un tantinet psychorigide, notamment avec son fils sur les bonnes manières… Mais peut-être était-ce elle qui était trop laxiste, elle qui, parfois, favorisait les pizzas à de la nourriture saine, qui parfois restait chez elle en pyjama à somnoler devant sa télé. Elle semblait en tout point contraire à cette Regina Mills.

Elle sursauta lorsqu'elle entendit sa sonnerie de téléphone retentir. Au lieu de se lever, elle marcha à quatre pattes jusqu'à la table basse et l'attrapa. Lorsqu'elle vit l'identifiant sur l'écran, elle sourit « Allo ? »


Le retour en taxi fut silencieux entre Regina et son fils. Ce dernier regardait le paysage défiler sous ses yeux, une ville illuminée par des milliers de spotlights, d'enseignes… Rien à voir avec la petite ville où il avait grandis où l'air ambiant sentait la sardine, où tout le monde se connaissait. Ici, c'était la ville des anonymes où des milliers de personnes se croisaient chaque jour sans un regard, sans un bonjour… Une ville qui ne lui ressemblait définitivement pas, mais qui avait pourtant quelques charmes comme ces dizaines de restaurants variés à la suite, ces buildings changeant définitivement des petits bicoques du bord de mer.

« Henry ? Ca va ? »

« Ouais… Fatigué. »

Regina se mordit la lèvre inférieure. Elle savait que l'épreuve était rude pour son fils. Il était encore trop tôt pour qu'il puisse comprendre l'entièreté de la situation : pourquoi l'avait-elle donné à l'adoption ? Qu'était sa vie sans lui ? Pensait-elle parfois à ce qu'il était devenu ? Avait-elle eu d'autres enfants ?

Tant de questions qu'elle savait bruler les lèvres de son fils, mais chaque chose en son temps. Ils avaient eu un premier contact assez cordial bien que semblant venir d'un autre monde : tout paraissait surréaliste. Du jour où Regina avait adopté Henry, elle s'était toujours demandée à quoi pouvait ressembler cette femme qui avait abandonné son fils. Elle s'était toujours demandé s'il avait des traits communs avec sa mère, avec son père biologiques. Elle s'était toujours demandée à quoi aurait pu ressembler la vie de son fils s'il avait vécu avec cette femme. Elle n'avait eu des doutes tout au long de sa vie : faisait-elle correctement avec lui ? N'était pas trop laxiste ? Pas trop sévère ?

Puis vint les questionnements sur la vérité : Henry la jetterait-elle ? Préférerait-il rester avec sa vraie mère ? Lui en voudrait-il de lui avoir caché la vérité ? Toutes ces questions ressurgirent lorsque son fils se pointa un matin avec une enveloppe craft contenant les papiers d'adoption. Regina n'eut jamais à cœur de mentir à son fils et elle s'était promis que lorsqu'il serait en âge de comprendre, elle lui dirait la vérité. Les choses aidant, elle avait du changer son agenda.

La réaction de son fils fut étonnamment calme et compréhensif. Elle savait Henry bien plus mature que les garçonnets de son âge. Et à 10 ans, il aurait pu prendre les choses bien plus mal, avec bien pus de rébellion. Mais finalement, seule vint une cascade de questions qui ne trouvèrent pas toutes de réponses dans les documents laissés par Emma Swan. Plus le temps passait et plus Henry été avide de connaitre des détails de sa mère biologique : lui ressemblait-elle à elle ou à son père ? Avaient-ils des traits de caractères communs ? Avait-il des grands-parents ? avait-il des origines, à l'instar de sa mère adoptive ?

Mais Henry avait été aussi clair : il n'en voulait absolument pas à Regina. Elle lui expliqua tout l'amour qu'elle lui avait prodigué, que rien n'avait été artificiel, qu'elle donnerait sa vie pour lui, et il le savait. Il n'avait jamais appelé Emma Swan sa « vraie » mère, car pour lui c'est Regina qui incarnait ce visage.

Alors, quelques mois après sa découverte, Regina paya les services d'un détective privé afin qu'il retrouve la trace de cette femme dont elle ne connaissait pas grand-chose en définitive : A donné naissance à un petit garçon à l'âge de 18 ans, originaire de Boston, vivant avec ses parents à l'époque. Elle avait accouché seule. Elle n'avait laissé aucune note au cas où son enfant veuille un jour la revoir, mais elle laissa l'adoption ouverte, ce qui pourrait lui permettre de la retrouver par la suite.

Evidemment, au moment où elle ré-ouvrit le dossier, 10 ans étaient passés et les informations étaient quasiment toutes obsolètes. Et c'était là que les compétences du détective entraient en jeu. Après une longue investigation de plusieurs semaines et mois, il revint un matin, Regina s'en souviendrait toute sa vie.

Il toqua à 10h13 du matin, un samedi. Henry jouait dans sa chambre après un copieux petit déjeuner comme aimait à lui faire Regina les week-ends. Lorsqu'elle ouvrit la porte, son cœur rata un battement. Dans sa main, il tenait une large et épaisse enveloppe marron, contenant certainement la vie d'une certaine femme.

Quand il partit, Regina resta un long moment seule dans son bureau, regardant cette enveloppe, sans l'ouvrir. Puis, après une longue inspiration, elle la décacheta et sortit une pile d'informations, données concernant Emma Swan : où elle vivait, son métier, ses habitudes, ses connaissances… Et le soir même, elle informa Henry de ses trouvailles et soudain ils se retrouvèrent avec un dilemme : maintenant qu'ils avaient toutes les informations, pouvaient-ils se permettre d'investir la vie de cette femme ?

C'est Henry qui décida que, oui, il avait besoin de la connaitre, de lui poser des questions, d'entendre des réponses…

Et lorsque le taxi s'arrêta devant l'hôtel, Regina du réveiller son fils qui somnola jusqu'à l'ascenseur, puis jusqu'à leur porte de chambre. Il se laissa tomber comme une masse sur son lit et Regina eut toutes les peines du monde à le convaincre d'enlever ses vêtements avant de s'engouffrer sous la couette.

Quant à Regina, elle ne trouva pas le sommeil, pas tout de suite du moins. Elle ressassa sa rencontre avec cette femme, celle qui avait donné la vie à son fils, l'amour de sa vie. Elle imaginait comment se passerait le lendemain : est-ce que Henry allait accrocher avec Emma ? Et elle, retrouverait-elle un tant soit peu de connexion avec lui ? Elle se massa douloureusement les tempes alors et soupira longuement… Oui, il ne pouvait être autrement, il s'agissait d'Henry Mills.

TBC

Alors, verdict ?