Coucou! Je suis trop contente d'être si productive, aussi j'espère que la qualité est là... Maintenant, depuis quelques chapitres, j'essaie d'intégrer quelques non-scènes et de rester proche du vrai scénario, cependant tout ne sera pas similaire... Je vous laisse découvrir cela!
Chapitre 10
Ayant cette vision macabre toujours en tête, Patrick envisagea de montrer un peu plus tôt ce qu'il avait derrière la tête depuis son retard à Teresa. Une chose essentielle dont elle avait besoin en ces temps actuels. Sur le chemin du retour, cette dernière s'aperçut que la route n'était pas celle habituelle.
"On peut savoir où tu m'emmènes? Il tourna la tête afin de se faire un plaisir de la taquiner:
- C'est une surprise!
- J'ai pas le droit de savoir? Jane était parvenu à l'embêter un peu, son visage pouvait facilement en témoigner, de part son léger mécontentement. Mais qu'est-ce qu'il aimait ça la charrier!
- C'est un peu le but d'une surprise Lisbon! Le silence accapara la voiture, Teresa réfléchissait intensemment pendant que son chauffeur lui donnait une chance en jouant aux devinettes. Mais sans succès... Ce n'avait jamais été son truc!
Au bout d'une quinzaine de minutes passées dans les routes de campagne, Jane gara la voiture aux abords d'un petit chemin. Il donna l'ordre à Teresa de fermer ses yeux pour que "sa surprise" soit encore plus concrète. Sa confiance envers son partenaire n'avait absolument pas disparue, puisqu'elle l'autorisa à la guider jusqu'à cette surprise sans aucune complainte. Ses pieds effleuraient de l'herbe moelleuse et ses poumons furent emplis d'un air frai et délicat. Le chant des oiseaux tourbillonnait autour d'elle. Le jeu des devinettes repris de plus belle, sa curiosité étant encore plus supérieure contrairement à quelques minutes auparavant.
- Tu m'as acheté un poney? s'exclama-t-elle tout sourire. Cette phrase réchauffa le cœur de Jane. Il espérait voir la même expression sur son visage. Cette joie si douce et pure dont seulement Teresa Lisbon avait le secret depuis de nombreuses années. Il était fier de cette surprise pour sa patronne... Ils en gardaient tout deux un excellent souvenir.
- Et voilà! Le noir complet devenait lumineux, un point d'eau, de la nature partout et un petit chalet en arrière plan. Patrick était rayonnant juste devant cette grande mare, dévoilant son nouveau projet pour leur couple. Leur avenir. Cependant sa confiance et son euphorie furent changées quand il vit l'incompréhension de sa petite amie.
- Jane, Qu'est-ce que c'est? Une cabane, un projet, un avenir en somme. Il comptait rénover et agrandir cette petite maison.
- On sait tout les deux qu'il nous faut du changement. Je ne suis pas en mesure de te pousser à démissionner et je dois m'occuper.
- Alors tu vas nous construire une maison? La perspicacité de Lisbon le troublait lui aussi de plus en plus, il s'attendait à un énorme sourire, un cri de joie même si Teresa n'était que très rarement démonstrative. Il pensait qu'elle avait besoin de ce genre de changement. Il en était convaincu. Il lui expliqua bien plus précisément se qu'il comptait faire pour leur vie à deux. Qu'ils auraient un endroit pour vivre et que c'était un début. A son grand regret, Teresa semblait complètement perdue. De la part de Jane, c'était un grand changement, un grand bon en avant et cela lui semblait tout à fait irréel. Deux jours auparavant, Teresa le croyait mort où partit pour de bon.
- Et tu vas quitter le FBI? Jane n'en savait rien, Il voulait juste construire un nouveau foyer avec celle qu'il aimait. Et être heureux. Elle le fixa longuement restant bouche bée. De l'inquiétude monta en lui à cause de sa réaction plus qu'inattendue. Patrick lui demanda alors ce qu'il n'allait pas.
- Je suis ravie que tu es trouvé cet endroit mais j'ai besoin d'éclaircir certains points.
- Lesquels? Son appréhension envers elle s'accrût.
- Je veux être sûre que tu ne vas pas encore t'enfuir. Jane s'approcha d'elle, et lui promit droit dans les yeux. Il resterait toujours avec elle...
- Je veux être sûre que tu as envie de t'impliquer dans notre histoire. Les promesses de Patrick Jane... Ce n'était pas qu'elle ne lui faisait pas confiance mais après l'avoir laissée seule sans crier garde, Teresa ne savait plus quoi penser. Elle allait bientôt lui annoncer, il le fallait, elle se comportait de manière de plus en plus inhabituelle. Jane ne devait pas s'en apercevoir. Teresa voulait juste protéger son enfant et lui assurer un père avant tout.
- Evidemment c'est pour ça que ce projet me tient à cœur. Patrick était impliqué, elle en était sûre. Il avait toujours été honnête quand il parlait de sa sincérité. Mais Jane lui avait demandé du temps, ce que malheureusement elle n'aurait presque plus. Et s'il ne voulait pas redevenir père?
- D'accord... Et tu comptes retirer ton alliance? Son sourire fondait pendant que ses yeux se vidèrent. Cependant elle continua son discours sans réellement y prêter attention.
- Parce que, on dirait que tu n'as pas envie de tourner la page... Ce qu'elle comptait faire, était simplement de "préparé le terrain", s'il daignait la retirer, sa vie passé ne serait qu'un souvenir évanescent. Et une nouvelle famille lui serrait envisageable.
- Non ça n'a rien a voir... Bien sûr que si Jane, tu te mens à toi même.
- Je sais que c'est difficile pour toi.
- J'ai l'habitude de la porter. Elle savait que c'était comme un coup de poignard dans le cœur mais elle devait savoir. Savoir si il resterait avec elle, pour le meilleur ou pour le pire.
- Oui mais c'est juste que je... "Encore une fois Teresa fut interrompu par un appel. A chaque fois qu'elle avait besoin de dire quelque chose d'important, elle ne pouvait pas. Comme la fois où elle voulait annoncer à son cher collègue Jane qu'elle allait le quitter pour aller à Washington. Elle détestait de plus en plus ses collègues pour l'interrompre. Sérieusement pourquoi ça n'arrive toujours qu'a moi? Depuis qu'il était revenu, elle ne cessait de vouloir lui dire. Lui dire tout ce que son lourd cœur portait. Elle avait déjà tenter quelques fois mais sans y parvenir. Le temps pressait.
Un nouveau cadavre venait d'être découvert. Et hop! Demi tour. En deux en trois mouvements, le consultant et l'agent étaient présents sur les lieux. Une chose attirait de suite l'attention de toute l'équipe, le corps était visible par n'importe quel passant. D'après Jane, le tueur voulait maintenant s'amuser avec la police, étant devenu très médiatisé. Quel tueur ne serait pas amusé? Cependant le plus étrange était à venir, effectivement sur le bras de la victime se trouvait une marque appartenant à une aiguille. Lisbon pensa tout d'abord que le tueur lui aurait administré une sorte de poison, mais quel tueur oserait un mode opératoire aussi simplet? Le sang, c'est beaucoup mieux non? Cependant la légiste leur expliqua qu'il aurait prélever du sang. L'équivalent d'un verre de sang. Pourquoi avoir fait cela? Voilà la question à laquelle tout le monde essayait de répondre.
N'ayant plus aucune information à tirer de la scène de crime, tous repartirent aux bureaux afin d'effectuer plusieurs recherches. Wylie était déjà plongé dans ses recherches depuis plus d'une heure -comme la plupart du temps- devant son ordinateur sur des blogs assez malsain qui pourraient expliqué la fascination du tueur. Lisbon elle aussi avançait dans l'affaire en investiguant sur d'anciennes affaires qui seraient plus ou moins similaires. Jane comme d'habitude était dans son canapé à cogiter. Abbot et Cho discutaient dans son bureau a propos de l'avancée de l'enquête. Quand ils furent sortis, Jane et Lisbon rencontrèrent une vieille connaissance du CBI. Richard Tork. Aucun d'eux ne l'appréciait réellement. Juste un "bonjour" occasionnel en se croisant dans les couloirs. Pourtant Lisbon se décidait de faire bonne figure en lui souhaitant la bienvenue. De toute façon Tork n'avait pas vraiment aimé travailler avec l'élément perturbateur numéro un: Patrick Jane évidemment. L'informateur de l'équipe n'avait seulement trouver qu'une seule chose qui semblait malheureusement bancale: l'assassin recueillerait ce sang car ce serait une sorte de vampire. Personne n'était vraiment d'accord avec ceci, excepté Jane. Grâce à cette nouvelle avancée Cho et Lisbon firent les conclusions suivantes: il était intéressé par les sciences occultes et de toute évidence, il croyait aux médiums. C'est d'ailleurs pour ça qu'il avait enlevé Gabriel d'après Lisbon. Tork lança alors un plan qu'il trouvait très intéressant à exécuter.
" Si il croit aux médiums, peut être que Jane pourrait lui parler?
Il réfuta cette idée de suite. Forcément, il n'allait quand même pas se confronter une deuxième fois avec ses démons, déjà qu'il avait du mal à tourner la page comme dirait Teresa...
- Oui mais vous pourriez lui faire croire? Vous pourriez passer dans les médias. Jane ainsi que Lisbon eurent leur tête qui se décomposait. Jane pressa le pas et se retira de cette grotesque supercherie en direction de la cuisine.
- Et on pourrait le pousser à se manifester, si il est à fond dedans, ça pourrait marcher. L'agent Tork ayant vu que absolument tous les visages de ses nouveaux collègue étaient devenus blancs (sauf Cho, pour sûr) demanda:
- J'ai dit une bêtise?
- La dernière fois que Jane a fait ça, ça a mal finit. Lui répondit Cho avec la neutralité la plus... Kimball Cho. Tork creusait dans sa mémoire et conclua ceci:
- Oh, sa femme et sa fille... Il vient de comprendre...
- Oui sa femme et sa fille!" Rétorqua-t-elle sèchement. Teresa rejoignait Patrick tout en calmant sa rage en elle. Comment peut-on être aussi stupide? Jane était déjà assez brisé comme ça... Ce qu'elle essayait juste de faire était de pousser légèrement Jane à tourner la page. Malheureusement elle vit que ce serait encore plus difficile qu'elle ne l'avait prévu. Elle se mit de suite à regretter ses paroles ce matin chez leur nouveau "chez eux". Elle arriva tendue, tendue par la sottise de Tork. Tendue de savoir comment allait Patrick. Malgré toutes les années elle avait toujours du mal à prédire les faits et les pensées de Jane. Afin de détendre l'atmosphère, elle le salua posément et évoqua le sujet de l'autopsie de Gabriel, pour qu'il se change un peu les idées.
"Il avait des oligodendrogliomes, des petites tumeurs dans le cerveau, ça lui donnait des bouffées délirantes, des crises et des hallucinations.
- Le pauvre, c'est pour ça qu'il se croyait médium...
- Et les médiums ça n'a jamais existés. Teresa prenait son partie encore plus fréquemment ces temps-ci. Elle voulait qu'ils soient absolument sur la même longueur d'ondes... Pour se racheter mais aussi pour faire accélérer les choses.
- Bah non. Lisbon le regarda longuement, honteuse.
- Je regrette de t'avoir parlé de ton alliance, je suis désolée. Cette phrase lui stoppa net l'envie de continuer sa tasse de thé. Son regard se posant sur ses yeux était rempli de tendresse et de regret.
- Teresa, je t'en pris...
- Si, tu n'as qu'a faire ce que bon te semble. J'irai bien, je le jure. Sa culpabilité mettait Jane mal à l'aise. Il savait qu'elle avait raison, cependant il lui fallait encore un peu de temps. Il détestait voir Teresa se sentir mal par sa faute. Après tout, il l'aimait plus que tout. Leur discussion fut interrompu par Wylie qui leur apprit que la police d'Austin aurait trouvé le tueur, qui serait abattu. Une fois n'est pas coutume, ils se dirigèrent vers l'adresse donnée dans les plus brefs délais.
Aucune lumière ne se montrait dans ce quartier plongé dans l'obscurité de la nuit sauf les gyrophares bleu et rouge virevoltant aux quatre coins de cette rue.
Fausse alerte.
Une agent de la brigade criminelle d'Austin démêla ce quiproquo qu'était ce meurtre. En réalité un homme avait appelé les forces de l'ordre, déclarant avoir tuer le tueur en série dont tout le monde parlait. Néanmoins, ce qu'il croyait être le tueur était juste un homme innocent. Cet homme ramassait des bouteilles dans les poubelles du voisinage afin de les recycler avec sa femme. Le propriétaire croyait que cette personne voulait rentrer chez lui, alors, prit de peur, il prit son révolver et tira. Cette agent leur conseilla vivement d'arrêter au plus tôt ce "malade", puisque les gens deviendraient hystériques et que par conséquent leur bureau était harcelé d'appels. Beaucoup d'habitant croyaient voir ce tueur rôder. Et comme nous avons pu le voir, cela pouvait tourner au drame. Cho lui demanda s'il pouvait être en possession des appels archivés. Ce qu'elle accepta sur le champ. Tout Austin se prêtait main forte en ces temps glacés. Elle partit donc avec lui afin de lui donner ce qu'il espérait, laissant Abbot, Jane et Lisbon. Cette affaire tracassait leur patron, cela était plus qu'évident. Ils pataugeaient, n'ayant aucune preuve, ni suspect, ni piste... Jane prit la parole de manière hésitante après avoir vu que Abbot était de plus en plus épuisé.
- Essayons l'idée de Tork.
- Quoi? Non! Le sang de Teresa venait de se glacer. Il ne va quand même pas faire ça, il plaisante?
- Au point où on en est, il faut tout essayer.
- Patron, non! Il va réellement le faire?
- Le tueur veut de l'attention, c'est pour ça qu'il ne cache plus les corps, on lui donnera ce qu'il voudra et... Abbot fut interrompu par le fougue de Lisbon qui était prête à tout pour Patrick.
- Vous voulez qu'il réserve le même sort qu'a Gabriel? Elle n'était pas prête à ça, non elle ne pouvait pas. Si Jane parvenait à... Sa pensée se coupa tant la possible vérité était atroce à imaginer. Son collègue voulait la rassurer et lui indiquer qu'aucun risque n'était envisageable, cependant, Teresa était toujours autant horrifiée.
- Vous savez qu'on ne le laissera pas faire.
- Vous ne pouvez pas le garantir. Patrick, qui s'était retiré de leur "bataille", admirait juste avec ses yeux ébahis sa petite amie devenue sauvage.
- Teresa, je te remercie de prendre ma défense, mais ce n'est pas nécessaire. Les yeux de Teresa étaient devenus noyés d'inquiétude. Elle le suppliait dorénavant. Le suppliait de rester auprès d'elle, auprès d'eux.
-Je vais le faire.
Avide. Voilà à quoi elle ressemblait à cette instant. Figée. Comme si elle niait son aveu. Dennis partit satisfait et les invita tout deux à rejoindre le bureau afin de construire un plan. La plupart des agents de police étaient déjà repartit excepté peut-être certains qui soutenaient la femme de la victime. Jane remarqua des filets de perles d'eau qui coulaient le long de la peau porcelaine de celle qui l'aimait. En s'approchant il posa la main sur son épaule et la fit glisser jusqu'à enveloppée la sienne. Sa douce main glacée.
- Hey, Teresa, ça ira, tu me fais confiance pas vrai? Quand il eut fini, Teresa se retirait de son étreinte et tourna la tête. Elle ne voulait pas montrer ses larmes. Pas maintenant Teresa, je t'en supplie! La paume de ses mains essuya partiellement ses joues. Entre deux soupirs cachés par ses larmes elle tentait de lui expliquer.
- Là n'est pas la question, si il t'arrive malheur, je... Cette fois c'était elle qui avait la parole coupée.
- Ecoute...
Impuissant. Face à elle, maintenant il n'avait pas les mots. Elle était comme lui, il connaissait ce sentiment, avoir peur de perdre l'autre. Une grande inspiration fut prise. Son regard ne démontrait que de la pitié à présent. Teresa était paniquée. Elle perdait pas à pas pieds. Elle s'engloutissait.
- Si je te perd, je... tout s'effondrait. Tout ce qu'on a essayer de construire. Tout ce qui est en train de se construire. Il n'y a pas une semaine, je croyais t'avoir perdu. Un sanglot l'emprisonna. Elle était piégée. Patrick essayait de la prendre dans ses bras, de la serrer fort, mais elle le repoussait inlassablement.
- Mais Teresa, calme-toi chérie... Qu'est-ce qu'il t'arrive?
- Je ne te comprenais pas il y a deux mois, quand tu tentais de me protéger mais quand tu es partit, quand j'étais seule j'ai comprit. J'ai tellement besoin de toi. Ses paroles étaient tellement sincères, émouvantes et inattendues que Patrick ressentit un long frisson le long de sa nuque.
- C'est normal, on s'aime. Je t'aime et tu m'aimes. A chaque fois que leurs yeux se rencontraient Jane se sentait de plus en plus coupable.
- Tu me fais peur, ça va?
- Je, je ... Lisbon serra les poings. Elle luttait contre ses pleurs, ses yeux se refermèrent et malgré ses efforts,une larme supplémentaire coula le long de son visage.
- Je voulais pas dire ça comme ça, pas ici, pas maintenant. Mais tout est devenu un cauchemar et je suis perdue Patrick... Cette fois ci, elle accepta les bras de Patrick et se blottit contre son torse en étouffant ses sanglots. Ce contact était milles fois mieux que des mots. Elle pouvait rester ici pendant l'éternité. Pourtant sa conscience était bien trop occupée pour rester immobile et silencieuse. Le moment "opportun" était là.
- Je suis enceinte Patrick.
Leur enlacement se brisa, Teresa enfouit son visage dans ses mains, couverte d'angoisses. Un sourire, il était lumineux. Jane retirait les mains de son visage afin qu'elle puisse voir le sourire qu'il arborait. Ce sourire, il se déchira vite.
- Et c'est pour ça que tu es dans un tel état? C'est une exellente nouvelle. Son ton était neutre. Son sourire n'était plus. Ses yeux devinrent vides et peureux. Il était autant perdu que la mère de leur futur enfant. Il va partir. Il va partir et j'élèverais seule cet enfant. Il n'est pas prêt. Aucun de nous n'est prêt.
Alors vous pensez que Lisbon aurait pu réagir comme ça? Comme une cocotte minute sur le point de bouillir? J'aime bien la voir impulsive! Vive les hormones!:D Dites moi vos impressions!
Si vous appréciez cette fanfic, je tenais à dire que j'ai écrit un OS récemment que j'aime assez et je trouve qu'il est bien mieux écrit et un peu mieux construit que "Durant de temps", si vous aimez les tragédies, ça pourrait vous plaire si ça vous intéresse je vous laisse aller lire le sommaire si le cœur vous en dit... Elle s'appelle " Ils auraient dû..."( Oui, je me fais de la propre pub ;D) Et n'hésitez pas à me donner votre avis:p
Au prochain chapitre ;P