39NOTE DE LA TRADUCTRICE : désolée j'ai carrément un mois de retard mais entre les vacances scolaires et s'occuper des enfants le temps m'a manqué, mais je repars sur de bonnes habitudes avec une publication tous les vendredi ! Bonne lecture :)
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Chapitre 5 : Imprégnation
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- Hey ! Potter !
Harry venait de finir sa journée de travail depuis peu, quand un de ses collègues, un vieil auror surnommé Weber, l'interpella en lui tapotant l'épaule.
- Comment ca va, George ? Lui demanda-t-il en souriant.
- La chef veut te voir, célébrité.
"Célébrité" était le surnom que lui avaient donné ses cinq collègues de travail en raison de sa renommée en Europe. Harry ne l'aimait pas mais au moins ils ne l'appelaient pas comme ça par méchanceté pas comme l'avaient fait Snape et Malfoy durant un temps. Il chemina jusqu'au bureau de sa chef, une ex-langue de plomb qui avait accepté ce poste après un accident qui lui avait laissé les hanches en très mauvais état.
- Vous m'avez demandé ?
- Ah, oui, Potter. Assieds-toi. Il obéit. Ca fait un moment que tu travailles ici et tu sais comment nous fonctionnons, donc je pense que maintenant je peux te laisser faire une nuit de garde. Comme tu le sais, tu seras seul et tu devras prendre soin à ce qu'aucunes perturbations magiques perturbent le port ou la ville.
- Bien sûr, j'espérais même que vous me désignerez bientôt quelques nuits de gardes.
- Je pense que ce weekend sera très bien. Tu n'auras pas de problème avec tes enfants ?
- Non, je ne pense pas . Mes enfants prennent de plus en plus leur marque avec leur nounou et j'ai assez confiance en elle pour lui laisser prendre soin de mes enfants pendant la nuit.
- Très bien, alors ce weekend ce sera ton tour d'être de garde.
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*Maison des Potter*
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Bella était un peu frustrée, même après avoir pris son courage à deux mains et mis son nez dans les affaires de la maison de son employeur elle n'avait rien pu trouver qui puisse trahir la nature étrange d'Harry Potter et de ses fils.
Oh, bien sûr il y avait bien certaines choses qui la faisaient tiquer. Dans la maison il n'y avait pas d'autre télévision que celle du salon. La cheminée était toujours allumée sans raison apparente. La maison avait l'air propre tous les jours alors qu'elle savait qu'Harry travaillait toute la journée et ne se levait apparemment pas plus tôt pour l'entretenir, en plus les enfants lui avaient dit que leur père n'avait embauché personne pour faire le ménage. Les enfants n'avaient pas de jeux communs, ni des livres d'enfants, seulement des grands et vieux volumes que selon Tom, elle n'avait pas le droit de toucher.
Même les jouets pour enfants étaient rares. Ils avaient bien des peluches, mais seulement d'animaux qu'elle n'avait jamais vus avant. Ils avaient des figurines en plastiques montées sur des balais avec des costumes étranges, des voitures télécommandées, mais sans télécommande. Et par-dessus tout, elle avait cru voir la veille les cheveux de Teddy se changer en bleu durant un court instant.
Il se passe vraiment des choses très etranges dans cette maison.
La sonnette de la maison retentit et la sortit de ses pensées. Elle avala nerveusement sa salive, quand elle vit qu'il y avait un géant de la reserve, qu'elle avait vu marcher avec Jacob sur la plage quelques jours plus tot, dans l'entrée.
- Bonjour. Il sourit. Mon nom est Sam, Monsieur Potter est là ?
Non, mais, elle regarda l'horloge murale qui était près d'elle. Il sera là dans cinq minutes. Cet homme est la personne la plus ponctuelle que je connais. Vous voulez lui laisser un message ?
- Puis-je attendre à l'intérieur ?
- Euh... Non ! Ta taille est vraiment trop terrifiante !
- Sam ! cria Teddy, avant de s'attacher aux jambes de l'homme comme une sangsue. Wow ! Tu ressembles à un demi-géant ! Tu n'es pas en relation avec Hagrid ?
- Avec qui ? Murmura-t-il en clignant des yeux.
- Ne faites pas attention à lui, lui dit Tom apparaissant dans le hall avec un verre de jus. Bonjour Samuel.
- Appelles-moi Sam, sourit le jeune homme. Samuel me fait passer pour un vieil homme.
Tommy haussa les épaules en continuant de siroter sa boisson.
- Bien du coup je peux... ?
Il s'interrompit, Teddy était en train de ronronner en frottant son visage sur ses jambes.
- Tu sens bon Sam, chuchota le garçon. Ton parfum me rappelle un peu mon père. Son odeur c'est la seule chose que je me rappelle de lui.
- Euh... Il regarda Bella.
- Ne me demande rien, mon patron insiste sur le fait qu'ils n'ont pas besoin de voir un psychologue. Elle ouvrit la porte en grand. Tu peux rentrer, mais je ne te le recommande pas.
- Merci. Il rit doucement. Je pense que je peux gérer un enfant qui me "renifle".
Ainsi Sam se retrouva assis entre Teddy accroché à sa hanche et Thomas de l'autre côté qui tenait la télécommande de la télévision à la main. Bella leva un sourcil, elle se sentait un peu jalouse, après tout ce temps passé à être la nounou de ces deux-là, ni Teddy ni Tom n'avaient été aussi familiers avec elle.
Ce qu'elle ne savait pas, bien sûr, était que la partie Loup de Teddy avait reconnu son alpha dans le loup de Sam, alors que pour Tom, Sam était le premier adulte de ce pays qu'il l'avait traité avec affection dans lui donner de regards dédaigneux ou de peur, à l'inverse des adultes de son pays natal. Thomas le respectait pour cela.
Comme tous les jours, Harry arriva à vingt heures pile, souriant et détendu, en meme temps son travail consistait seulement à boire du café et lire des rapports ennuyeux.
- Je suis rentré, tout le monde ! S'écria-t-il à la porte.
- Nous sommes devant la TV, fut la salutation de Bella.
Harry se dirigea vers le salon, ne sachant pas que sa vie aller changer à jamais.
Tout se passe de manière très lente pour l'homme-loup dans le salon. La première chose que sentit Sam fut une odeur forte, qui n'était pas désagréable, loin de là. C'était une odeur de luxure qui excitait son corps et ravissait son loup intérieur. Il pouvait quasiment le sentir ronronner dans sa tête. Puis quand Harry franchit le seuil de la pièce, la vie de Sam changea.
Tout autour de lui disparu. Il n'y avait plus que cet homme, ses beaux yeux verts, sa peau pâle, son petit visage, ses lunettes rondes, son sourire, sa cicatrice en forme d'éclair, son corps fin mais musclé, son...
- Sam ?
L'homme-loup cligna des yeux en entendant cette belle voix musicale. Oh, oui, il pourrait vivre toute sa vie en écoutant cette voix.
- Eh, sam.
Oh, mon Dieu. Maintenant qu'il était plus proche il pouvait encore mieux sentir cette odeur fantastique. C'était une sorte de mélange d'odeurs de forêt, de chocolat, de café et tout ce que pouvait être purement Harry Potter.
- Tu te sens bien ?
Et maintenant, il le touchait. Il n'avait encore jamais remarqué avant combien sa main était petite, si douce et avec quelques callosités sur sa paume et ses doigts. Mais il ne sentait pas la rugosité, seulement la chaleur qui se propageait dans tout son corps à l'endroit où il l'avait touché.
Sam. Un coup se fit entendre. Ouch !
Le cri de douleur d'Harry le ramena à la réalité. Il cligna plusieurs fois des yeux et regarda l'homme, qui se tenait la main en grimaçant.
- De quoi êtes-vous fait ? De fer ? Se plaignit-il.
- Je... suis désolé.
- Ce n'est pas grave. Harry soupira. Ce n'est pas comme si je ne connaissais pas la douleur. Mais qu'est-ce qui se passe ? Tu vas bien ?
Il soupira, frustré, en remarquant que Sam lui jetait encore ce regard étrange. Il ne savait pas, qu'à ce moment-là, Sam Uley réalisa qu'il avait expérimenté l'impregnation. Lui, le premier loup de La Push depuis de nombreuses années, avait imprégné un homme.
- Je dois partir, dit-il à voix basse, en se levant si précipitamment qu'il fit presque tomber Teddy sur le plancher dans le processus.
- Quoi ? Mais...
- Je suis désolé, je... Il le regarda à nouveau. Comment cela ce fait-il ? Je ne suis pas gay ! Il avança un peu, mais l'odeur fascinante le fit presque défaillir.
Harry recula. Est-ce que Sam est en train de me sentir ? Pensa-t-il déconcerté.
-Oh mon Dieu. Oh mon Dieu, murmura Sam avant de sortir en trombe de la maison.
Il y eut un long silence dans le salon des Potter.
- Quelqu'un peut m'expliquer ce qui vient de se passer ?
Mais personne ne pouvait répondre à sa question.
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Dans la réserve des natifs, les anciens qui gouvernaient le clan des Quilleutes regardèrent avec perplexité l'homme-loup.
- Ce doit être une erreur, marmonna le père de Sam. (1) Voyons voir, répète-moi encore ce que tu as ressenti.
- Ok, je vais le faire comme les cinq autres fois ! Combien de fois faut-il que je te le dise ?! Cria Sam en faisant des allers-retours dans le salon de la maison. C'était comme si le monde avait disparu quand je l'ai vu ! Son odeur a réveillé quelque chose en moi pire que le loup ! Je suis ici mais mon esprit est avec lui ! Je veux le voir, le toucher, le protéger, répondre à tous les caprices venant de son esprit !
- Assez, Sam, lui dit Billy Black avec une voix calme. Nous comprenons, nous tous. Il est indéniable que tu as imprégné monsieur Potter. Il soupira. Et je pense que tu devrais lui dire...
- Le lui dire ?! Cria le père de Sam. Mais... ! C'est un homme ! Il serra les poings. C'est impossible ! On suppose que l'un imprègne l'autre afin que ce dernier devienne son compagnon d'âme, qu'il aimera pour toujours, quelqu'un qui pourra lui donner une descendance !
- Est-ce qu'est cela qui t'indispose alors ? Lui demanda Harry Clearwater. Qu'il ne puisse pas avoir des enfants ?
Monsieur Uley soupira en donnant un regard peiné à son fils.
- Je... ça me déconcerte que ce soit un homme, assura-t-il. Mais étant un Quilleute je comprends que l'impregnation est quelque chose que nous ne pouvons pas refuser. Alors, je vais devoir m'habituer à l'idée que je n'aurais pas de petits-enfants, parce que je ne t'obligerai pas à l'ignorer.
- Harry a déjà deux enfants, soupira Sam, un peu plus calme après les paroles de son père.
- Ce n'est pas pareil !
- Je sais, mais je devrais m'en contenter. L'idée même de mettre une femme enceinte, seulement pour avoir un enfant, me répugne. Harry est tout pour maintenant et si j'ai un enfant avec quelqu'un d'autre... Il pourrait me dédaigner pour cela...
- Nous comprenons, mon garçon, lui dit Billy. Je regrette que tu sois le premier et que nous ne pouvons pas te guider plus dans ce sens que dans les légendes, mais nous te soutiendrons. Tu décideras quand tu lui diras tout.
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*Maison des Potter*
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- Ce weekend ? Murmura Bella.
- Oui. Pourquoi ? Tu avais quelque chose de prévue ?
- Mes amies vont aller acheter des robes pour le bal et elles m'ont demandé d'y aller avec elles.
- Oh... Harry fronça les sourcils.
- Quel est le problème ? Demanda Teddy. Nous irons avec Bella !
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*Port Ángeles*
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Bella soupira, se sentant coupable d'avoir emmené les enfants. Le visage qu'avaient fait Jessica et Angela quand elles les avaient vu l'avait fait grimacer. En vérité elle avait prévu cette sortie pour se reposer de Tom et Teddy, mais il semblait que le destin ne voulait pas lui accorder de pause.
A peine rentré dans le premier magasin, Tom murmura quelque chose à Teddy et les deux disparurent dans un coin où les robes de mariés étaient entreposées. Du moment qu'ils ne sortaient pas dehors elle ne leur prêterait pas d'attention. Cependant quand une vendeuse vint vers elle avec une robe bleux pulpeuse, pleine de volants et de paillettes, suivit des deux garnements, elle dut intervenir.
- Et cette robe ?
- C'est pour toi ! Cria Teddy les yeux brillants. Nous voulons jouer à la princesse et aux chevaliers, alors Tom a choisi cette robe pour toi.
Elle lui jeta un regard incrédule.
- Je ne mettrais pas cette robe !
- Mais si Bella, lui dit Tom avec confiance. Nous n'avons eu qu'à donner quatre cents dollars à la vendeuse.
- Quatre cents ? Hurla-t-elle.
Il y a également une tiare, quelques bijoux et des chaussures, mademoiselles, lui dit la vendeuse avec un sourire allant d'une oreille à l'autre.
- Mais où avez-vous eu tout cet argent ? Siffla Bella ahurie.
- A la banque...
Une fois que Jess et Angela eurent fini leurs achats, Bella était épuisée. Bien qu'elle doive admettre que ce qui l'épuisait le plus était la perspective de devoir mettre cette robe pompeuse. Quand elles partirent elles durent être séparées car les enfants avaient exigé d'aller dans un magasin de jouets. Poliment, ses amies lui dirent qu'il y avait d'autres endroits où elles voulaient aller. Elle savait qu'elles avaient fui. Elle l'aurait fait aussi, si elle avait pu.
Ainsi, une heure plus tard, les deux enfants étaient fiers d'être les propriétaires d'une Play Station 2, qu'elle leur avait recommandé d'acheter. La vérité était que si les enfants jouaient avec (comme tous les enfants normaux), elle aurait beaucoup plus de temps libre dans son travail de baby-sitter. Cela ne lui importait pas de donner un mauvais exemple aux enfants si cela permettait à son stress de baisser.
- Eh bien ,je crois que nous sommes perdus, commenta Tom inutilement, en passant à nouveau devant une ruelle par laquelle ils étaient déjà passée avant.
Bella et Tom jetèrent un regard noir à Teddy.
- Hey ! Ne me regardez pas comme ça ! Je voulais me dégourdir les jambes. Dans le village nous faisons rien à part aller de la maison à l'école.
Ils continuèrent à marcher à la recherche d'un endroit pour manger, mais leur escapade prit fin quand quatre hommes se mirent à regarder Bella d'une manière inappropriée. Teddy voulait rester et "combattre les méchants" mais Bella le jeta sur ses épaules comme un sac à patates, agrippa la main de Tom et commença à courir. Mais alors que les "méchants" commençaient à les rattraper, une Volvo argentée et Harry Potter apparurent comme par magie.
- Papa !
- Wow ! C'est une voiture ?! J'adore la couleur !
- ... Désolé.
Harry soupira, tandis qu'Edward et Alice sortaient de la Volvo. Les quatre hommes qui les avaient suivi restèrent statufiés sur place ne sachant quoi faire.
- Pour commencer, siffla Harry en fusillant les hommes du regard. Allez-vous en avant que je n'appelle la police. Ils aquiescèrent et s'enfuirent. Dieu, ces yeux verts étaient vraiment intimidants. Et vous, continua-t-il en regardant Bella et ses enfants. Je ne peux pas avoir une nuit tranquille sans sentir que vous êtes en danger ?
- C'est la faute de Teddy, bredouilla Tom.
- Hey !
Harry soupira et se retourna pour regarder les Cullen qui étaient toujours là.
- Que font-ils ici ?
- Salut, je suis Alice, la salua la jeune fille aux cheveux noirs, tendant une main tremblante à Harry. Il l'accepta avec suspicion. Je suis la voyante, chuchota-t-elle tandis qu'Edward distrait les trois autres. Je sais ce que vous avez dit à notre père, mais j'ai pu voir quelque chose, vous savez ? C'était juste un flash, mais il y a une heure j'ai pu voir Bella mettre votre filleul sur son épaule et commencer à courir. Du coup, mon frère et moi avons décidé de venir quand elle a pris fin. Je ne peux l'expliquer, vraiment.
- Tu les as vu dans la vision ?
- Oui, elle sourit. Votre fils, Teddy je les ai très bien vus, comme Bella, donc je ne voulais pas qu'il arrive quelque chose.
- Merci, lui répondit Harry sincerement. En retour je vais essayer de comprendre pourquoi vous avez pu voir quelque chose.
- Oh, pas besoin.
- Certes, lui sourit l'adulte, mais je vois que ça te ronge d'incertitude.
Elle rit nerveusement.
- Qu'est-ce que vous êtes en train de chuchoter ? Demanda Tom collé aux jambes de son père.
- Rien qui ne t'intéresse, lui assura-t-il. Avez-vous mangé ?
- Pas encore, soupira Bella. Nous étions en train de chercher un restaurant.
- Alors nous allons vous y emmener, marmonna Edward, qui qui sait pourquoi avait maintenant la Play dans ses bras. Si vous n'y voyez pas d'inconvénient Monsieur Potter.
- Non, murmura-t-il en plissant les yeux. J'ai confiance dans le fait que vous pouvez emmener mes enfants et leur nounou au restaurant.
- Merci.
Quand la Volvo recula, Harry croisa les bras et se retourna.
- Tu m'espionnes? Sam ?
L'espion, qui n'était autre que Sam Uley, sortit de derrière les buissons où il s'était caché de Bella et des enfants et dans lesquels il avait pris racine pour ne pas être détecté par les vampires ni par l'auror entrainé.
- Pourquoi tu laisses tes enfants à la charge des Cullen ?
Harry leva un sourcil.
- Tu me tutoyes ? Demanda-t-il en feignant la surprise. Et quel problème as-tu avec les gens à qui je decide de laisser mes enfants ?
- Je dois te parler, grinça-t-il des dents. En privé.
- Allons à mon bureau, lui répondit Harry en le regardant avec méfiance. Je suis seul aujourd'hui.
Sam hocha la tête avec sérieux, contenant l'envie de saisir son compagnon et de le secouer en lui disant que les Cullen étaient dangereux. Mais il ne pouvait pas faire ça, pas encore. D'abord il devait lui parler des loups de La Push, de l'imprégnation puis juste après des vampires végétariens.
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A suivre...
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Note finale de l'auteur : (1) Je ne me souviens plus si le père de Sam est vivant ou mort (je crois qu'il est mort), la seule chose dont je suis sure c'est qu'il s'appelle Joshua. Du coup en raison de la trame de la fic, il sera en vie... parce que les enfants ont besoin d'un nigaud qui les embarrasse.
