1 ans plus tard.
Dans une maison semblant paisible perdu au fin fond de l'écosse, un homme dans sa cuisine se retourne vers ce qu'il pense être son ami attendu pour le déjeuner. Il a un grand sourire aux lèvres, mais il se fige et ses yeux s'empli d'effroi en voyant l'homme devant lui. Aucun son n'a le temps de sortir de sa bouge lorsqu'il tombe. La douleur est intense. Un voile noir l'emporte. Il est impuissant. Une seule pensée le traverse « Lilly ».
Dans le jardin, Lilly dont les cheveux roux sont restés libre malgré la chaleur, lit un livre tout en surveillant du coin de l'œil ses deux enfants, Harry et Eben tout deux semblant jumeaux. Ils ne se différencient que par leurs yeux. Malachite pour le premier, Ambre pour le deuxiéme . Tout trois sont paisibles, et profite des premiers rayons du soleil d'été. Malheureusement Lilly sent son corps se figer. Elle a peur quand elle voit une ombre s'approcher. Elle est terrifiée quand elle voit l'homme a qui appartient cette ombre. Elle ne peut pas empêcher une larme de couler quand la baguette de cet être vise ses enfants. Elle lutte pour ouvrir ses lèvres, pour supplier. Il détourne ses yeux des enfants qui le fixent, imperturbable, inconscient. Il regarde la mère implorant pour la vie de ses enfants. Il sourit.
« Très bien je ne tuerai que celui qui m'intéresse. Dis-moi, qui est Eben ? » Lilly ne dit rien.
« Je vois… Alors, qui est Harry ? » il l'a fixe intensément, puis sourit sadique. « Quel dommage! Tu n'as pas pu t'empêcher de le regarder. » Il regarde Harry de ses yeux noirs. « Tes yeux sont vraiment magnifiques ! Quand je me serais occupé de ton frère je te les prendrais. »
Il lève sa baguette blanche, prononce la formule. Lilly hurle. Une lumière et un pouvoir éclatant jaillit. La chose rugie de rage et Lilly s'évanouit. Dans le jardin plus rien ne bouge, les animaux se taisent. L'homme a disparu et les enfants allongé sur leur couverture ont le front en sang. La blessure d'Harry a pris la forme d'un éclaire, celle de Eben en est sont reflet.
Chapitre 2 non corrigé (je viens de l'écrire si je ne le poste pas maintenant je ne le ferai jamais).