Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas.
Note : La manière de narrer cette histoire est particulière, mais c'est un défi que je me suis lancé.
Les mortels t'amusaient, tu prévariquais sûrement, mais tu étais un être libre. Aussi libre que ton élément, oublié des gens, sauf les gros passionnés. Eole, tu t'amusais des étranges humains qui créait des créatures oreillardes. Tu aurais pu mourir de rire si ta moitié ne t'avait pas menacé de te transformer en une de ses créatures en tirant sur tes magnifiques lobes. Tu te posas sur une horloge immense, tu pouvais voir des chiffres anciens. Les humains n'avait pas tout effacer de leur passé. Bien que certains s'amusaient à répéter les erreurs dans un cercle infernal. Tu aurais pu les inspirer avec tes courants d'air chaud. Mais tu espérais, tu souhaitais que l'humanité soit un plus dans l'esprit ubuntu.
« Leurs vies sont si courtes... »
Tellement que de les voir déchirer pour des raisons futiles mutilait ton âme. Celle de grand frère poussant leurs existences fragile dans l'immensité du ciel. Être invisible pour tous, tu leur souriais, certains maudissaient tes farces, tes rafales dont tu avais du mal à te défaire. Preuve de ton existence. Preuve que tu étais là malgré tout. Ton cœur sera et restera celui d'un enfant, un pauvre garçon trop puissant pour rester un être mortel. Tu avais fini par se faire à ce fardeau. À garder cette énergie propre à l'innocence. À pourtant pleurer à chaque morts devant tes yeux. À chaque flamme de vie trop rapidement soufflée sous les guerres futiles. Même Arès et Athéna devaient être épuisé par ces litiges. Ils n'étaient pas des exemples, pires, ils avaient été même les pires des criminels dans cette moralité. Tu lâchais un soupir, une tornade se créant sous cette action, heureusement, rien d'important sur le chemin de cette catastrophe hors de contrôle. Assez grande pour faire réagir ces vies, ces cœurs trop affamés de pouvoir.
« Tu vois chérie, j'ai presque défendu cette végétation que tu aimes tant… Je sais, tu me bouderas, encore. J'ai l'habitude. »
Tu pourrais rire, mais les colères de ta belle sont devenues si habituelles. Tu ne t'étonnerais pas qu'elle te balances un de ces objets modernes dont elle raffolait. Tant de haine contre toi, son amour vache était une chose dont tu avais du mal te passer. Une distraction brève, mais pourtant si loin des destructions des mortels. Gaïa, cet ancêtre qui pleurait sa perte. Sa fin qui signera le pire. Le Tartare et ces monstres ne seraient pas une pure plaisanterie face à sa colère. Toi et tes proches ne pourrez l'arrêter. Tu avais peur, peur de ce moment qui te surprendrait sûrement...